Générique
Dans la ville de Métropolis, un taxi s’arrête devant le Daily Planet. Un homme avec une barbe, portant un sac sur l’épaule, vêtu d’une chemise de bucheron et en portant un bonnet noir, en descend. L’homme entre dans le bâtiment, se dirige à un bureau, pose ses affaires, prend une paire de ciseau et coupe le bandage qu’il avait autour de la poitrine. Jimmy s’avance vers lui mais on se rend compte qu’il s’agit de Loïs.
Au Daily Planet-A L'aube
Jimmy : T’es en avance...hum, super la barbe. (Il frappe des mains). Mais la moustache ça te va beaucoup moins bien. (Jimmy fait le tour du bureau et se met en face de la jeune femme). Tu veux que je le fasse ? (Loïs ferme les yeux puis Jimmy lui arrache la moustache).
Loïs : Hum. Oh. (Le photographe sourit). Ça y est, c’est dans la boite. (Elle donne une cassette audio et un dossier à Jimmy).
Jimmy : Super. (Il s’en va).
Loïs retire son bonnet et secoue ses cheveux avec sa main. Le lendemain matin, elle marche dans les couloirs du journal, vêtu d’un noir avec de fine rayure blanche. Les télévisions sont allumées, afin que les collègues de la jeune femme suivent les informations. Une journaliste de télévision raconte ce qui se passe.
La journaliste télé : Un réseau de voleur de voiture a été démantelé ce matin.
Loïs passe en-dessous un long file, ou des journaux du Daily Planet, avec l’article de la journaliste qui est en première page, son suspendu. Elle rejoint tous ses collègues qui sont regroupé dans un coin.
Loïs : Oh, je vous en prie. J’ai le triomphe modeste. (Dit-elle le sourire aux lèvres).
Jimmy : Dire que tu leur as fait que t’étais un mec.
Loïs : C’est la moustache qui m’a aidé et les leçons de conduite sportive. (Elle pointe son café vers Jimmy).
Jimmy : A Loïs Lane ! (Il lève sa tasse de café). La journaliste qui continue, là où s’arrêtent les autres reporters.
Ses collègues : Ouais !
Perry : Oh là, oh là. N’en fait pas des kilos...Jimmy, cesse de l’encourager ou elle ne passera plus la porte du Daily Planet.
Loïs : C’est agréable d’être connu pour ces qualités.
Perry : Evidemment. Et qu’est-ce que vous espériez ? Que, on vous déroule le tapis rouge ?
Loïs : Non. (Elle rit). Mais une augmentation, oui.
Perry : Et moi je voudrais bien un voilier de dix-huit mètres avec l’intérieur en bois des îles. Seulement voilà. (Il tire sur les poches de son pantalon, qui sont vide). Les temps sont durs. (Loïs et les autres rient). Qu’est-ce que vous attendez, planter comme ça ? Vous êtes ici pour bosser. C’est pas l’apéro à Buckingham Palace. (Il s’éloigne mais Jimmy le suit).
Jimmy : Chef, je crois que j’ai une explication pour les meurtres...chef. S’il y avait du sang sur les brochettes mexicaines, c’est parce qu’ils étaient en train de manger quand les malfaiteurs sont entrées. (Les deux hommes s’arrêtent devant la porte du bureau de Perry).
Perry : La rubrique nécrologique est prête à mettre sous presse ?...Jimmy. Surtout ne pas sous-estimer le côté essentiel de la nécrologie dans les pages de notre journal. (Perry entre dans son bureau et referme la porte derrière lui).
Jimmy :...J’t’y collerais bien moi dans la nécrologie. (Il rejoint Loïs qui est assise à son bureau, en train retranscrire un article sur son ordinateur. Le photographe prend un bout de papier et le lie). Whaou ! Alors là tu t’attaques à une grande pointure.
Loïs : Quoi ? (Dit-elle perdue, en train de relire ses notes).
Jimmy : La secrétaire personnelle de monsieur Lex Luthor... (Loïs se lève aussitôt pour essayer d’arracher le papier des mains de Jimmy). A répondu à ton coup de fil. (La journaliste réussit à prendre le papier et à le lire). Laisse tomber. Lex Luthor n’accorde jamais d’interview.
Loïs : Parce qu’il n’a encore jamais rencontré Loïs Lane.
En centre ville-Jour
Un bus arrive et s’arrête en ville. Des passagers en descendent, dont un homme brun avec des lunettes, avec un long manteau noir et portant une vieille valise marron ou les initiales CK sont inscrite en or dessus. Clark contemple la ville et le vas et viens des habitants.
Soudain, il s’aperçoit qu’un autre bus roule à gauche puis à droite. Le chauffeur du car a perdu le contrôle de son véhicule, qui est sur le point de percuter des piétons mais Clark court, se met devant le bus et le stop avec sa main, dont il laisse l’emprunte, sans que personne ne s’en rende vraiment compte. Puis il retourne prendre sa valise et se dirige vers le Daily Planet.
Au Daily Planet
L’ascenseur de l’immeuble s’ouvre à l’étage où se trouve Loïs, toujours en train de travailler sur son article. Un sans-abri portant un colis, entre dans les locaux.
Le sans-abri : Loïs Lane ? Loïs Lane ? Loïs Lane ?! (Il voit la journaliste et brandit le colis. Il accourt vers elle, qui est effrayée). Loïs Lane ! Ça va exploser !
Une femme : Attention, y a une bombe !
Jimmy : Mais non, c’est pas une bombe. (Un policier essaye de le maintenir mais le sans-abri réussit à se rendre jusqu’au bureau de la journaliste).
Le sans-abri : Tout est écrit là-dedans ! (Il brandit son colis).
Un policier : J’suis désoler monsieur mais je n’ai pas pu l’arrêter.
Le sans-abri : Vous ne comprenez pas ?! J’ai la preuve que Messenger va exploser. J’vous en prie mademoiselle Lane, prenez ces documents et lisez-les ! (Deux policiers emmène le sans-abri).
Le même policier : On a déjà eu des problèmes avec lui.
Loïs : Non. S’il vous plaît attendez !
Un policier : Faut pas faire attention à c’qui raconte. C’est un malade.
Le sans-abri : Le programme spatial est condamné ! Je vous en prie ! Ecouter moi! (Les policiers l’emmènent vers la sortie. Loïs regarde le colis qu’elle a dans les mains. Une journaliste de télévision parle de l’actualité).
La journaliste télé : Le lancement de la navette Messenger, piloter par le commandant Jack Latterman, est chargé de transporter le module de propulsion sur la station orbital Prométheus... (Loïs assise à son bureau, le colis entre les mains, regarde les informations télévisuelles). Devrait avoir lieu vendredi, à neuf heures du matin. Le docteur Tony Baines, insiste sur la précisions horaire, d’un tel évènement.
Le docteur Baines : Si jamais l’ensemble des modules n’est pas en place d’ici quinze jours, la station Prométheus devra quitter l’orbite pour pénétrer dans l’atmosphère. Bien sûr une telle éventualité mettrais un terme à bon nombre de nos projets...c’est à dire au programme spatial en entier.
La journaliste télé : Après avoir connu de nombreux retards dû à des défaillances techniques, le projet Eprad va jouer sa dernière carte. (Loïs fait tomber un tas de feuille sur le sol. Elle se baisse pour les ramasse). Nous allons maintenant parler politique... (Une femme avec de longue jambe s’avance vers elle).
Cat : Bonjour Loïs...toujours sur les genoux à ce que je vois.
Loïs : Qu’est-ce qui t’es arrivé, t’es tombé du lit, Cat ? (La journaliste se relève). Les filles de ton genre, ça travail la nuit.
Cat : La rançon a payé quand on travaille à la rubrique mondaine.
Loïs : Tu veux dire celle des commérages ?
Cat : Celle, qui me maintient au sein de la vie social. Tu, tu sais toujours ce que sait ? Où ce n’ai qu’un souvenir ? (Elle prend son manteau de fourrure, gifle le visage de Loïs avec et s’en va, sous le regard de la journaliste et de Jimmy, qui vient de la rejoindre).
Loïs : Mais qu’est-ce que les mecs peuvent lui trouver ? Tout ce qui l’intéresse dans la vie, c’est de tenir à jour son tableau de chasse.
Jimmy : Pitoyable...tu crois quelle chasse aussi, le petit gibier ?
Loïs : Oh. (Elle frappe Jimmy sur la poitrine).
En centre ville
Dehors, Clark s’avance jusque devant la façade du Daily Planet. Il se trouve assis en face de Perry, dans son bureau. Le chef cherche des lettres de candidatures.
Au Daily Planet
Perry : Donc vous êtes, euh...
Clark : Kent. Clark Kent. (Perry vient de trouver la lettre de Clark).
Perry : Ah oui. Tiens, le professeur Carlton m’a parlé de vous. Ça fait un baye que je n’ai pas eu de ces nouvelles. (Il lie la lettre). Alors voyons voir tout ça. Euh, journal Smallville Press, où est-ce ?
Clark : Kansas.
Perry : Au Kansas. (Le téléphone sonne). Euh, une petite minute. (Il décroche). Oui?...Dite lui de ne pas paniquer...si Carilyn ne peut pas le livrer à temps, alors faite le faire par quelqu’un d’autre ! (Il raccroche, prend son pouls et regarde sa montre). J’ai été obligé de m’acheter un appareil pour prendre ma tension artériel.
Clark : Le pava est efficace.
Perry : Je vous demande pardon ?
Clark : Les Ou Longo, une tribu de nouvelle guinée, en mange pour lutter contre le stress. Les feuilles de pava sont excellentes pour atteindre un état méditatif. (Une femme entre dans le bureau, y dépose un journal et ressort).
Perry : Ah. Et bien je vois que vous avez beaucoup voyager.
Clark : Pourtant, c’est la première fois que je viens à Métropolis.
Perry : Oui
Clark : J’ai apporté des extraits, de mes différentes activités. (Il sort un journal de sa valise et le donne à Perry).
Perry : Eu, oui oui oui. Alors, regardons ça. (Il lie les articles). Le mensuel de, Bornéo...parade et comportement amoureux du, gayco...Kent, je suis persuadé qu’il s’agit là, d’article fascinant mais fiston vous êtes au Daily Planet. Le quotidien qui a le plus fort tirage au monde ! Nous avons pour but, de nous consacrer corps et âme à ce métier de journaliste, dont la tâche essentiel repose sur la diffusion de l’actualité international. (Jimmy ouvre la porte du bureau).
Jimmy : Ca y es chef. J’ai mis un klaxon sur votre voiture de golf.
Perry : Pas maintenant Jimmy.
Jimmy : Et j’trouve qu’il est un peu...
Perry : Jimmy, j’ai dit pas maintenant ! (Le photographe s’en va). Bon, comme je vous l’disais, vous comprendrez aisément que je ne puisse pas... (Loïs entre dans le bureau).
Loïs : Chef, je crois qu’il y a matière à un article. (Clark se lève aussitôt).
Perry : Oh.
Loïs : Vous vous souvenez du type qui a fait irruption ce matin ? Il était ingénieur sur Eprad. Alors j’ai pensez qu’il serait sans doute...
Perry : Loïs, je vous signale que pour le moment je suis en rendez-vous !
Loïs : Oh.
Perry : Loïs Lane, Clark Kent. (Le jeune homme tend la main à Loïs, qui le regarde à peine).
Loïs : Ravi de vous rencontrer. Alors voilà, il travaillait sur Messenger...
Perry : Non, non, non. Attendez une minute. Arrêter-moi si j’me trompe mais quand est-il de votre article, sur ce fameux théâtre qui doit être remplacé par un parking ?
Loïs : Je ne le sentais pas celui-là.
Perry : Vous ne le sentiez pas. (Jimmy tape à la porte du bureau du chef). Ecouter moi bien Loïs, c’est moi qui décide... (Le photographe fait des signes à la journaliste, que quelqu’un est au bout du fil).
Loïs : Oh il, il faut que je file. Je reviendrais plus tard. (Elle part en courant).
Perry :...Je vous assure, si cette jeune personne n’était pas le meilleur grand reporter que j’ai jamais vu, je... (Il reprend son pouls). Enfin bref. Allons Kent. Je suis persuadé que vous êtes quelqu’un d’intelligent mais soyons honnête, jamais vous n’obtiendrez quoique ce soit chez moi avec ce que vous m’avez présenté.
Clark : Monsieur White, je sais que je manque d’expérience mais je suis...
Perry : Kent.
Clark : Mais je suis un bon rédacteur...
Perry : Kent, je regrette mais je n’ai rien à vous offrir fiston.
Clark : Bon ça ne fait rien. Je vous remercie de m’avoir accepté de me recevoir.
Perry : Ah de rien. (Les deux hommes se serrent la main). Merci. (Clark quitte le bureau, tandis que Perry à affreusement mal à la main que le jeune homme lui a serré).
Le nouvel arrivant se rend dans le centre-ville, devant un hôtel. Jonathan est au téléphone avec Clark, qui est dans une chambre d'hôtel.
Jonathan : Tu veux que je t’envoi de l’argent ?
Clark : Non, non, non. Ça va aller. (Martha est également au téléphone).
Martha : Ton rendez-vous ça a été ?
Clark : Pas terrible mais je désespère pas.
Jonathan : Oui, je ferais mieux te virer un peu d’argent.
Clark : Non papa, j’tassure.
Martha : Tu viens quand même nous voir vendredi ?
Clark : Manquer tes bons petits plats ? Ça non.
Jonathan : Quels bons petits plats ? Je n’ai pas eu droit à un bon petit plat depuis...
Martha : Clark, tu es prudent au moins chérie ?
Clark : Oui, si ce n’ai l’autobus ce matin, tout va bien.
Martha : Quoi ? Qu’est-ce qu’il avait cet autobus ?
Jonathan : A Métropolis les gens ne sont pas aveugle mon garçon. Et là-bas comme partout, tu dois faire très attention. S’ils découvrent tes capacités, tu finiras dans un laboratoire et tu seras disséquer comme une grenouille.
Clark : Disséquer comme une grenouille. Je le sais par cœur mais crois-moi, je fais mon possible pour ressembler à tout le monde ici.
Jonathan :...Bon, je vais t’envoyer de l’argent d’ici ce soir.
Clark :...Papa...je te rembourserais, c’est promit...j’vous rappel demain.
Martha : Bonsoir chérie. (Ils raccrochent).
Dans la chambre d'hôtel-Nuit
Clark est allonger sur son lit, en train de lire quand l’ampoule qui est au-dessus de lui se met à clignoter. Il vole dans les airs et la répare puis il se met à marcher sur les murs pour essayer d’oublier son ennui. Il finit par se rallonger dans son lit.
Appartement de Loïs-Nuit
Loïs ouvre toutes les serrures de la porte de son appartement. Elle entre en tenant plusieurs sacs de course.
Loïs : Lucy ?...Tu es là ?
Lucy : Oui, oui. (Elles se rendent dans la cuisine). Je croyais que tu devais partir ?
Loïs : Oh, j’ai du travail. (Elle pose ses courses et se rend dans le salon). Sans commentaire.
Lucy : Tu t’es trouver un cavalier pour aller au bal de l’orchidée chez Lex Luthor ?
Loïs : Non, pas encore.
Lucy : Ça a lieu demain soir. (Loïs fouille dans son sac). Si t’appelais Mitchell, il m’semble qu’il te plaisait bien, non ?
Loïs : Mitchell est un hypocondriaque. (Elle sort un dossier de son sac).
Lucy : Tu sais qu’il existe des hommes bien et qu’ils ne sont pas tous à mourir d’ennui ou stupide mais qu’est-ce que tu attends à la fin ?
Loïs : D’accord ! Je vais d’mander à Mitchell.
Lucy : Je ne parlais pas simplement de demain soir. Il faut que tu sortes d’avantage.
Loïs : C’est bientôt finit de me sermonner ? On dirait papa. Je n’ai que vingt-six ans. (Elle met quelque chose à cuir dans le four micro-onde).
Lucy : Vingt-six ans aujourd’hui, trente-six demain. Je comprends pourquoi Alain le fameux dentiste n’a jamais rappelé.
Loïs : Oh.
Lucy : Mais quelle idée de l’avoir emmener, le pauvre, dans un séminaire basé sur la rivalité mec, nana au sein du monde moderne. Mais c’est normal qu’il parte en courant, essai te montrer plus fragile et moins brillante de temps en temps.
Loïs : Ecoute, je suis navré. Je me montre tel que je suis et tant pis s’il n’y en a aucun que cela intéresse, avec le temps ça finira par arriver.
Lucy : J’aime pas te voir tourner en rond entre quatre murs.
Loïs : Je ne suis jamais là, j’ai toujours un rendez-vous.
Lucy : Non, tu as des interviews, c’est très différent...Loïs, tout ce que je veux c’est que tu te trouves un mec génial.
Loïs est allonger dans son lit, en train de relire quelques feuilles sur l’enquête quelle est en train de mener. Elle se met à bailler puis elle pose sa feuille et regarde alors un film à la télévision ou un homme et une femme sont l’un en face de l’autre. Loïs prend une poignée de pop-corn, quelle a dans un bol à ses côtés.
Le personnage du film :...Gwendoline, tu as pris ta décision ?
Gwendoline : Oui, tu as gagné...je tiendrais ma promesse. Ce soir, je t’offrirais mon corps mais mon cœur...mon cœur bat pour un autre homme que toi. (Loïs se met à pleurer, elle prend un mouchoir et se mouche).
En centre ville-Matin
Clark rejoint un groupe de manifestant en ville, qui tourne en rond en brandissant des pancartes, contre la fermeture d’un théâtre. Ils empêchent les tractopelle de faire leur travail.
Les manifestants : On échange pas la culture, contre un parking à voiture ! Les seules places qu’ont puissent donner, ce sont des places de théâtre ! On échange pas la culture, contre un parking à voiture ! Les seules places qu’ont puissent donner, ce sont des places de théâtre ! On échange pas la culture, contre un parking à voiture ! Les seules places qu’ont puissent donner, ce sont des places de théâtre ! (Clark s’avance vers le théâtre, baisse ses lunettes et utilise sa vision pour regarder à travers les murs du bâtiment. Il découvre qu’une comédienne d'un certain âge, habiller de quelques accessoires est sur scène en train de réciter un texte).
La comédienne : Après l’automne sombre et maussade. Après l’hiver froid que voici...si je pouvais seulement ôter de ma poitrine cette tour de pierre.
Clark esquisse un sourire et remonte ses lunettes. Mais il se rend compte, que les démolisseurs montent dans leur engins. Il baisse alors à nouveau ses lunettes pour regarder à travers le capot du tractopelle et se sert de son laser rouge pour neutraliser le moteur du véhicule. Les manifestants sont ravis, tout comme Clark, qui remonte ses lunettes. Le jeune homme entre dans les théâtres et rejoint la comédienne, qui continue à réciter son texte.
Dans le théâtre
La comédienne : Oh mon enfance, ma pureté...oh, mon chère jardin. Je dormais dans cette chambre d’enfant. Et c’est ici que je regardais le jardin...chaque matin, c’est le bonheur et la joie qui envahissaient mon cœur. Ce jardin était tel qu’il est encore aujourd’hui. Rien n’a changé. Oh, blanc, complètement blanc. Mon chère, très chère jardin. (Clark applaudit). Qui êtes-vous ?
Clark : Euh, un admirateur.
La comédienne : Je ne m’en irais pas. Pas avant de l’avoir fini. (Clark sourit).
Clark : Très bien...puis-je rester ? J’adore cette pièce.
La comédienne : Vous la connaissez ?
Clark : Oui, c’est La Cerisaies. D’Anton Tchekhov.
La comédienne : La meilleure qu’il est écrit.
Clark : Absolument.
La comédienne : Ils ne savent pas que le théâtre, ce n’ai pas, uniquement des briques et du béton...c’est du drame, de la passion, du mystère, de la comédie et de la vie. Ne me dite pas de m’en aller. Je n’ai pas terminé.
Clark :...Mais rien ne presse.
La comédienne : Comprenez-vous, je voudrais...juste dire au revoir...blanc, complètement blanc. Oh, mon jardin.
Clark saisit son article sur un ordinateur, dans la chambre de son hôtel mais la machine fume très vite car le jeune homme à entrer ces données en super-vitesse.
Clark : Béatrice fît ces débuts à l’âge de dix-huit ans. Warren Arding était président, le soldat inconnu reposait au cimetière d’Arlington et Beb Rousse avait été vendu aux Yankees. Béatrice était venu dire au revoir à ce qui fût son passer.
Au Daily Planet
Perry lie l’article de Clark, qu’il a entre les mains, assis sur le fauteuil de son bureau.
Perry : Ce qui fût sa vie. A ce qui maintenant n’allait plus devoir résister, que par le charme doux-amer de la mémoire. (Jimmy est à côté du chef, qui se lève et qui donne l’article à Clark, en souriant).
Jimmy : Super. (Loïs qui a tout entendu, est derrière Clark).
Loïs : Ouais, pas mal. A condition d’aimer ce genre-là.
Perry : Mon garçon dite vous qu’il n’y a qu’une seule chose que je place au-dessus de l’expérience, c’est l’initiative. Clark Kent. (Il tend la main au jeune homme). Bienvenue au Daily Planet. (Clark lui prend la main). Sans façon. (Il retire sa main aussitôt. Soudain, une femme hurle dans les locaux).
Une femme : C’est affreux ! Venez voir ! La navette spatiale est en train de prendre feu ! (Loïs quitte la pièce, ainsi que Jimmy). Vite ! Mais dépêchez-vous !
Perry : Allons voir ça. (Clark et lui quittent le bureau).
Jimmy : Loïs, vient voir ! (Un présentateur télé commente les images en direct).
Le présentateur télé : Flash spécial, en direct de l’air de lancement de la navette. Notre correspondante est sur place. (La fusée est en train de prendre feu). Et nous nous efforçons d’établir le contact avec elle. (Tous les journalistes se regroupent devant la télévision). Carmen Alvarado, vous m’entendez ? Carmen, pouvez-vous nous faire part des tout premier commentaires, recueillis sur place.
Carmen Alvarado : Nous sommes encore sous le choc. C’est atroce. La navette spatiale c’est enflammée, il y a quelques minutes à peine...
Loïs : Je savais bien que ce monsieur Plats avait quelque chose à nous dire.
Perry : Loïs, ce n’ai pas parce qu’un pauvre type joue les madames soleil, qu’il faut forcément en déduire, qu’un sabotage visait à détruire le programme spatiale.
Loïs : Mais lors du prochain lancement, de nombreux civils, seront à bords. Vous êtes prêt à courir un tel risque ? (Perry baisse la tête).
Carmen Alvarado : Pour l’instant nous ne pouvons rien vous dire de plus mais nous vous tiendrons informer tout au long de la journée. (Loïs et Perry sont dans le bureau de celui-ci).
Loïs : Il me faut quelqu’un de solide. Je ne peux pas y aller tout seul.
Perry : Vous n’avez qu’à prendre Jimmy.
Loïs : Chef, il ne s’agit pas de la rubrique des chiens écrasé.
Perry : Bon alors, prenez Kent.
Loïs : Kent ?
Perry : Kent !
Loïs : Pourquoi pas Meyers ?
Perry : Il est pris.
Loïs : Et Farnes ?
Perry : Il est à Budapest.
Loïs : Je ne veux pas Kent.
Perry : Il est très bien.
Loïs : Kent arrive d’un bled perdu, dont j’ai oublié le nom en plus.
Perry : Kent ou personne.
Loïs : Très bien...et n’allez pas dire, que je n’ai pas l’esprit d’équipe. (Elle quitte le bureau et s’avance vers Clark d’un pas pressé).
Loïs : Aller, en piste. (Elle tape l’épaule du jeune homme et passé à côté de lui). Suivez-moi Kent. (Clark la rejoint en courant).
Clark : Je peux savoir où nous allons ?
Loïs : Interviewer Samuel Plats. Il est persuadé que Messenger a été saboté. Je vous ferais un briefing en route. (Ils mettent leur manteau). Alors que les choses soient bien claires entre nous. (Ils se rendent vers l’ascenseur). Je n’ai pas trimé seize heures par jour, afin de devenir journaliste au Daily Planet, pour finir comme nounou d’un gratte papier de plouc ville et encore ceci vous ne travaillez pas avec moi, vous travaillez pour moi. Je prends les photos et je pose les questions. Vous n’êtes qu’un employé. Là, c’est moi le patron et sachez que j’entends bien le rester. Comprendes ? (Ils s’arrêtent devant l’ascenseur).
Clark : Vous voulez être au top ? C’est OK.
Loïs : Ne poussez pas Kent, car c’est vous qui risqueriez de glisser. (Ils montent dans l’ascenseur. Loïs a un regard déterminer, tandis que le jeune homme sourit dans son dos).
Les deux journalistes descendent d’un taxi et entre dans un bâtiment à l’abandon. Loïs frappe à une porte.
Dans le bâtiment
Loïs : Docteur Plats ?...Docteur Plats, c’est Loïs Lane. (Le médecin lui ouvre, effrayer puis ils entrent dans un laboratoire en désordre).
Le docteur Plats : Ils disaient que j’étais fou mais faut voir e qu’on m’a fait avaler. Par ce qu’ils m’ont fait avaler des médicaments, quand j’ai fait mon rapport au docteur Brings.
Loïs : Docteur Plats. D’après vous, comment a-t-il pu y avoir sabotage, avec un tel cordon de sécurité ?...Sauf s’il s’agissait d’une personne en place.
Le docteur Plats : Soumis à des températures extrêmes, les isolateurs de particule, avaient de grande chance d’être détruit. Fort de cette information, nous avons installé, un système de chauffage...mais lorsque j’ai pénétré dans la zone interdite du laboratoire, j’ai découvert que le système de chauffage avait été remplacé. Par un système contraire
Clark : Pour refroidir les particules ?
Le docteur Plats : Exactement. D’où l’accident prévisible. J’ai fait un complet sur la question. J'’ai tout écrit noir sur blanc.
Loïs : Où est ce rapport ?
Le docteur Plats : Je l’ai remis au docteur Baines. (Il part à la recherche du document).
Loïs : Auriez-vous un double de ce document ?
Le docteur Plats : Oh...que serait un scientifique, sans le double de ses travaux ! (Il trouve quelques bouts de feuille, ici et là).
Loïs :...Docteur Plats, peut-être pourriez-vous le retrouver plus tard. Nous enverrons quelqu’un le chercher. (Loïs tombe sur une photo de famille du scientifique).
Le docteur Plats : Ma femme...on prévoyait de s’installer sur Prométheus.
Loïs : Où sont-elles à présent ?
Le docteur Plats : Partit...elles sont partit...enfin, c’est sans doute mieux.
Loïs :...Docteur Plats, qui aurait intérêt à saboter la station orbital Prométheus ?
Le docteur Plats : Aucune idée...un laboratoire placer en apesanteur sur Prométheus, nous permettrais de soigner des maladies incurable sur terre. Dans un environnement qui échappe à la gravité terrestre, il devient facile de séparer les protéines, qui forment les virus...tellement d’enfant souffre de maladie génétique...ma fille, elle aussi guérirait.
Loïs :...Je crois que nous allons rendre visite à madame Baines.
Clark : Monsieur. (Dit-il timidement).
Dans le laboratoire
Loïs et Clark se rendent tout près de la rampe de lancement d’une navette. Ils sont dans un laboratoire, ou travaille le docteur Baines.
Le docteur Baines : Il va de soi que nous sommes tous en état de choc. Vous imaginez les conséquences dramatiques d’une telle catastrophe. Le commandant Latterman était un brillant pilote...il avait trois enfant, sa femme, Anne.
Loïs : Docteur Baines, quelles hypothèse ont été faite pour expliquer l’explosion ?
Le docteur Baines : Nous ne pouvons rien dire avant d’avoir examiné l’épave de la navette. Ce qui va être fait dans les jours qui suivent.
Loïs : Pourrions-nous là voir ?
Le docteur Baines : Je regrette. La presse est interdite.
Clark : Sans exception ?
Le docteur Baines :...Je vais voir ce que je peux faire.
Clark :...Merci. (Il sourit au docteur).
Loïs : Euh, à propos du docteur Samuel Plats.
Le docteur Baines : Oh, j’ai justement sa fiche sous les yeux. (Elle cherche une feuille sous un tas de dossier). Un grand scientifique, quel gâchis. Visiblement sont travail ici, plus son divorce ont été, fatale dirais-je...il s’est mis à boire et à se droguer. Il faisait pitié à voir...nous l’avons gardé aussi longtemps que possible mais lorsqu’il a mis le feu à un laboratoire. (Elle pose le dossier sur son bureau). Nous l’avons renvoyé.
Loïs : Le docteur Plats déclare vous avoir remis un rapport, concernant, si je me souviens bien, un système de refroidissement, visant à...
Le docteur Baines : Vous êtes sûr ?...Non, je n’ai rien reçut de sa part...je vais quand même regarder.
Loïs : Si vous, le trouvez. (Elle prend une carte de visite de son sac et la donne au docteur). Appelez-nous.
Le docteur Baines : Certainement...à votre service. Dans la mesure où je peux vous aider, c’est avec plaisir. (Dit-elle à Clark).
Clark :...Merci. (Il sourit. Les deux journalistes marchent dans le laboratoire). Elle a l’air coopératif.
Loïs : Je n’ai pas confiance
Clark : Très séduisante. Bah, je veux dire pour quelqu’un dans sa position.
Loïs : Typique.
Clark : Pardon ?
Loïs : C’est une réponse masculine, typique.
Clark : Non, je dois vous faire un aveu. Je ne suis pas un homme ordinaire.
Loïs : Oh, tout ça parce qu’elle n’ait pas trop vilaine à regarder...
Clark : Elle-même très jolie.
Loïs : Vous êtes prêt à gober, tout ce qu’elle peut vous raconter.
Clark : Pourquoi ? Vous croyez que j’ai tort ? Vous croyez que tout le monde triche? Il n’y aurait personne d’honnête, sur cette planète ?...Plutôt décourageant, non ?
Loïs : C’est réaliste Clark et ça évite de nombreuse déception.
Au Daily Planet-Jour
Loïs se sert un café, alors que Cat est derrière elle, un train de lire un article. Jimmy fait un briefing à Clark.
Jimmy : Nous possédons différent rubriques, comme tout journal qui ce respect. (Les deux hommes passent à côté de Cat, qui scrute Clark). Fait divers, sport, loisir, etcetera... (Cat siffle après avoir vu le nouvel arrivant).
Cat : Waouh. C’est qui celui-là ?
Loïs : Utilise ton laisser passer habituel et pose lui toi-même la question. (Loïs s’éloigne, alors que Cat retire sa veste pour laisser apparaître un haut rouge et noir des plus oser. Elle se retourne, alors que Clark s’avance vers elle pour ce servir un café).
Clark : Excusez-moi.
Cat : Catherine Grant. (Elle lui tend la main). Les secrets du gotha. (Clark lui prend la main, sous le regard de Loïs qui n’est pas loin).
Clark : Ah oui, j’ai déjà lue, ça. (Cat sort un petit rire).
Cat : Je vois que ma réputation m’a précéder.
Loïs : Oui, entre autre chose.
Cat : Jeune homme, je sais ce que c’est lorsqu’on arrive, dans une cité inconnue. La solitude. (Elle prend la cravate de Clark). Je, je serais ravi de vous servir de guide.
Clark : Euh...c’est très aimable à vous mademoiselle Grant.
Cat : Cat.
Clark :...Cat...euh, peut-être lorsque, je serais installé. (Elle tapote sur l’épaule du jeune homme et passe à côté de Loïs. Mais elle s’arrête et se retourne vers Clark).
Cat : Marcher conclus. (Loïs lance un regard noir à Clark et elle se rend à son bureau. Le jeune homme se sert un café, le sourire aux lèvres).
Clark :...Cat. (Loïs est assise à son bureau, en train de téléphoner).
Loïs : Non, Mitchell ce n’ai pas grave. Si vous êtes enrhumé, vous êtes enrhumé. (Clark s’assoit à un bureau, qui est en face de Loïs). Oui, je comprends que vous ne puissiez pas sortir...non, ne m’appeler pas. Et soigner vous. (Elle raccroche, alors que Clark feuillète le botin. Loïs le regarde puis elle se lève et le rejoint). J’imagine que vous n’avez pas de smoking ?
Clark : Il suffit d’en louer un...pourquoi ?
Loïs : Oh...et bien, la personne qui devait m’accompagner au bal de Lex Luthor a un rhume.
Clark : Ah bon ?
Loïs :...Alors justement, je me demandais, si par hasard... (Ils se regardent puis elle s’éloigne mais elle s’arrête et revient vers Clark). Vous voulez venir à sa place oui ou non ?!
Clark : Oh. Non je, je vous remercie mais Loïs mais ce soir je, je vais me coucher de bonne heure.
Loïs : Qu’est-ce que vous dite ?! C’est le grand évènement de l’année ce soir. Il y aura tout ce que cette ville compte de personnalité et vous allez vous couchez ! (Clark se lève).
Clark : Est-ce que, est-ce que c’est officiel ?
Loïs : Officiel ?...Oh. (Elle sourit). Vous voulez dire comme au Kansas. Vous rencontrez mes parents, avant de m’emmener sur le terrain vague, ou vous pourrez m’embrasser dans le cou. (Elle redevient sérieuse). Non, il ne s’agit pas de ça. Moi je vous parle travail. Je vais bientôt être la première à avoir interviewé Lex Luthor. J’aurais l’exclusivité.
Clark : OK.
Loïs : Bon…alors c’est d’accord ? (Clark incline la tête, Loïs lui tourne le dos mais elle se tourne à nouveau vers lui). Neuf heures. (Le jeune homme hoche un peu la tête). D’accord. (La journaliste se rend à son bureau, alors que Clark s’assoit. Elle prend son manteau et quitte le bureau. Clark sourit).
En centre ville-Nuit
Le journaliste court dans les rues de la ville. Puis il retire ses lunettes, les met dans la poche intérieur de sa veste et s’envole mais un sans-abri allonger au sol, l’aperçoit.
Un sans-abri : Eh mon pote, ta pas une petite pièce ? (Clark lui donne un billet). Oh. Oh toi mon pote t’es pas un radin. Oh ça pour sûr. (Clark vole dans les airs). T’es peut-être, un ange.
A Smallville-Nuit
Clark finit par atterrir devant la maison de ses parents. Il est assis, en train de finir le repas.
Clark : C’était délicieux maman. Merci. (Martha ramène les plats à l’évier, sous le regard de Jonathan qui est assis à côté de son fils).
Martha : De rien chérie.
Jonathan : Hum, hum...t’es plus veinard que moi. Ta mère est devenue une artiste. (Martha s’avance vers une sculpture quelle a faite).
Martha : Je t’ai appelé, trop pur, trop tôt. Cœur torturé, larme d’amertume. Quand dis-tu ? C’est trop cérébral ?
Clark : Non, non. C’est, c’est...très, très imaginatif.
Jonathan : Hein, hein. (Il se lève et débarrasse quelques assiettes).
Martha : Parle-moi encore de cette jeune fille, que tu accompagnes au bal de Lex Luthor.
Clark :...Loïs, est, une personne compliquée...dominatrice. Une forte personnalité, obstinée...brillante. (Ses parents le rejoignent). Mais si nous sortons ce soir c’est, c’est pour le travail. (Il s’essuie la bouche et se lève).
Martha : Ah. (Elle enfile la veste à son fils).
Clark : Merci d’avoir recousu ma veste maman.
Martha : J’ten prie chérie.
Clark : Au-dessus de Cleveland, l’orage a été très violent.
Martha : Peut-être devrais-tu changer de cap. (Elle ouvre ses bras). A la semaine prochaine. (Elle prend Clark dans ses bras). Surtout prend soin de toi chérie. (Le père et le fils vont dehors et contemple les étoiles).
Clark : J’avais oublié à quel point c’était beau ici. Métropolis, les seules étoiles qu’ont puissent voir, roule en limousine.
Jonathan : Hum, hum...c’est toi qui a voulu aller là-bas. Moi je ne pourrais. Même pas une minute.
Clark :...C’est pas normal cette ville. Cette masse, cette foule sans cesse en mouvement.
Jonathan : Ils sont impatient...comme toi. Enfin. (Il pose la main sur l’épaule de son fils). J’espère que tu as trouvé ce que tu voulais. Et que tu peux enfin vivre comme tu le souhaitais.
Clark :...C’est pas évident...habiter à Métropolis, travailler au Planet, c’est le but que je mettais fixer mais...
Jonathan : Mais tu as toujours le sentiment d’être marginal.
Clark : Mais pour cause. Je ne suis pas d’ici. (Il s’approche d’un caillou et tape dedans. Le rocher s’envole dans l’espace). Je dois sans cesse faire attention et me contrôler. Utiliser mes pouvoirs reviendrais à ruiner la moindre petite chance d’avoir une vie normale.
Jonathan : C’est quoi une vie normale ?
Clark : C’est...être un humain. Comme toi et maman. Vivre, travailler...rencontrer quelqu’un. Fonder une famille.
Jonathan : Clark...nous ignorons si c’est possible. Tu ne peux pas prendre le risque d’être découvert. S’ils savaient que tu viens d’une autre planète...
Clark : Je ne vais pas cacher toute ma vie. Il doit bien y avoir un moyen pour que je puisse être, Clark Kent, tout en utilisant ce qui m’a été donné pour le bien de l’humanité. (Il prend son père dans ses bras).
Jonathan : Tu trouveras un moyen fiston. Tu trouveras un moyen.
Appartement de Lex Luthor-Nuit orageuse
De nombreux convives habillées de robes et de smoking discutent, tandis que Clark et Jimmy marchent côte à côte.
Clark : Tu l’as déjà rencontré ? Lex Luthor ?
Jimmy : Non mais j’ai lue cinq de ces autobiographies interdites. L’artisan de la fortune. La face cachée de celui qui devient milliardaire. Lex détient des douzaines de compagnie, Emploie des milliers de personne. Il est sacré homme, chaque année. Ici son nom revient, tout le temps. (Il prend une coupe de champagne). Il se montre rarement en public et n’accorde aucune interview. Oh, le voilà. (Lex sert la main de tous ceux qu’ils croisent, alors qu’il descend des escaliers).
Lex Luthor : Bonsoir...bonsoir. Très heureux. Bonsoir. (Il sert la main d’un sultan). Salamaleïkoum. (Puis il sert la main d’une femme). Promit Margaret, je vous rappelle. (Puis d’un homme). Harry. Félicitation pour vos recherches, j’ai beaucoup apprécié votre équipe de chirurgien. (Loïs regarde le milliardaire). Sénateur Washington. Je suis flatté de vous recevoir ici. (Il sert la main d’officier, qui sont en bas). Messier, comment allez-vous ? A tout à l’heure. (Il se dirige vers une femme). Bonsoir. Merci beaucoup. Enchanter.
Loïs : Lex Luthor. (Le tonnerre gronde dehors. Le milliardaire se retourne vers la journaliste). Vous n’avez répondu à aucun de mes coups de fil.
Lex Luthor : Excusez-moi. (Dit-il à ses invités puis il se dirige vers Loïs).
Loïs : Loïs Lane, Daily Planet.
Lex Luthor : Je peux vous assurez que... (Il lui bise la main). Je ne commettrais plus ce genre d’erreur.
Jimmy : Elle est super cette fille. (Clark vole de quelques centimètres au-dessus du sol, subjugué par Loïs). Clark ? Clark ? (Il redescend).
Clark : Oui. (Il tousse un peu). Oui elle est, super. (Loïs danse avec Lex, sur un air de piano).
Loïs : J’espère, que vous pardonnerez mon audace.
Lex Luthor : Sachez que je trouve que l’audace est trait très séduisant que je trouve très séduisant chez les femmes d’aujourd’hui. (Le tonnerre gronde encore).
Loïs : Je vous en remercie...eh bien voilà, monsieur Luthor...
Lex Luthor : Lex. (Le tonnerre gronde à nouveau).
Loïs :...Lex. Je connais votre réticence face aux interviews.
Lex Luthor : Quelqu’un dans ma position ne peut pas ce permettent de risquer que ces paroles, soient mal interpréter et j’ai des plans, deux ou trois expériences malheureuse avec les médias
Loïs : Mais pas avec moi.
Lex Luthor : Seriez-vous disponible ? (Il s’approche de l’oreille de sa cavalière). Ce soir ? (Le tonnerre gronde mais Clark les rejoints).
Clark : Pardonnez-moi de vous déranger. (Loïs et Lex arrêtent de danser).
Loïs : Lex, je vous présente Clark Kent. Clark travail au Planet. (Les deux hommes se serrent la main).
Lex Luthor : Très heureux. (Il ne le regarde pas). A tout à l’heure. (Lex s’en va. Clark danse alors avec Loïs, qui regarde le milliardaire s’éloigner).
Loïs : Oh, quel idiot ! Ça fait plus d’un an que j’attends. J’y étais presque.
Clark : Presque pour ça ?
Loïs : Je pensais que le quadrille c’était d’avantage votre genre.
Clark : En réalité j’ai appris à danser avec une princesse nigérienne, qui prenait des cours à Londres.
Loïs : Tiens dont. Comme c’est intéressant. (Elle s’éloigne).
Clark : Bah, où est-ce que vous allez ? (Loïs entre dans le bureau de Lex, suivit de Clark peu après. La foudre tombe dehors, alors que le jeune homme referme la porte du bureau derrière lui). Loïs.
Loïs : Le métier de reporter exige parfois ce genre de procéder. (Elle scrute la pièce et ferme toute les portes. Un éclair tombe dehors).
Clark : Loïs, on ne peut pas. (Elle se rend dans une autre pièce).
Loïs : Faite le gai. (Clark fait le tour du bureau et admire les armes anciennes du milliardaire. Quand soudain, Lex pointe un glaive sur le reporter).
Clark : Macédonien.
Lex Luthor :...Cela appartenait à Alexandre le Grand. Un célèbre tacticien...la stratégie d’Alexandre était simple...premier arriver, premier servit...c’est avec ce glaive qu’il a triomphé de Darius...
Clark : Darius trois. (Lex lui tend le glaive, que Clark prend). Et qu’il fût proclamé roi d’Asie.
Lex Luthor : Vous me surprenez monsieur Kent...et j’ai rarement des surprises. (Loïs les rejoints).
Loïs : J’espère que vous ne m’en voudrez pas d’avoir visité. Vous avez une magnifique maison.
Lex Luthor :...Avez-vous admiré la vue d’ici ? (Ils se dirigent tous vert la fenêtre et l’ouvre, alors que la pluie fait rage dehors). La plus grande tour de Métropolis. J’avoue qu’il met agréable de savoir, que les gens qui veulent me voir, sont obliger de lever la tête. Retournons auprès de mes invités. J’ai un petit discours qui devrait vous séduire. (Loïs s’en va et Clark fait signe à Lex de passer à son tour).
Clark : Après vous. (Ils retournent dans la salle où se trouvent tous les invités).
Lex Luthor : Mesdames et messieurs ! Chère invité ! Mes amis ! (Lex ce met au centre de la pièce). Vous voici présent ici pour une bonne cause ! Je salut votre générosité. Le foyer Luthor pour enfant abandonner, sera très bientôt une réalité ! (Tout le monde applaudit). Merci ! Comme vous le savez, j’ai pour seul ambition d’améliorer ce qui fait améliorer la qualité de vie des citoyens de Métropolis et ce soir, je veux aller plus loin. Ainsi j’ai eu la tristesse d’apprendre, que le Congrès des Nations avait décidé d’annuler, le projet de station, Prométheus. (La foule est déçue). Tout profit mis à part, il est clair qu’un laboratoire installé en station orbital, pourrait, permettre de très gros progrès dans le domaine de recherche pharmaceutique. Un tel laboratoire, est donc indispensable aux citoyens de cette planète. Voilà pourquoi j’ai décidé d’apporter mon soutien financier au projet d’un laboratoire, qui m’appartiendrait sur une station orbital. J’ai donc soumis ma proposition au Congrès des Nations et maintenant j’attends leur réponse...mesdames et messieurs, je vous offre la station orbital, Luthor. (Le tonnerre gronde dehors et un hologramme de la station, flotte au milieu de la pièce). Je vous en présente, la maquette. (La foule est subjuguée). Ouvrez grand vos yeux, sur cette petite merveille. La station orbital Luthor, va marquer un tournent dans l’histoire de la science...un vaisseau amiral, croisant au large, des siècles futur. Ma, participation au devenir de l’humanité...pour les enfants, de la terre. (La salle applaudit et Clark se rend compte, que Loïs est sous le charme de Lex).
Le milliardaire se trouve seule dans son bureau, assis sur le sol devant un feu de cheminée, en train de fumée un cigare et avec un verre de vin à ses côtés. Mais un cobra se faufile dans la pièce. Lex se retourne vers la bête qui se dresse mais le milliardaire lui lance un regard terrifiant. Le serpent s’incline et s’en va, alors que l’orage gronde encore dehors. Le milliardaire esquisse un sourire satisfait, alors qu’un de ses domestiques vêtu d’un habit indou, récupère le reptile.
Azabi : Ça sera tout pour ce soir monsieur ?
Lex Luthor : Oui Azabi. Merci...ça sera tout pour ce soir.
Azabi : Bonsoir. (Le domestique s’en va, alors que Lex s’allonge sur le sol, en fumant son cigare, ravit).
En centre ville-Jour
Sous un soleil radieux, Clark court jusqu’à Loïs qui descend d’un taxi, devant le Daily Planet.
Clark : Bonjour Loïs.
Loïs : Ce matin j’ai pas chômé en vous attendant. (Ils marchent d’un pas pressé). J’suis repartit à Eprade. J’ai suivi le camion qui transportait l’épave de la navette. Ils l’ont mise dans un hangard. J’ai essayé d’entrer mais votre amie le docteur Baines, m’en a empêcher.
Des travaux on lieu sur la route. Un trou est creuser dans le sol ou des chantiers sont regrouper au-dessus mais une fumée sort des sous-sol.
Un ouvrier : Hé ! Y a un type là-dessous ! Faut aller le chercher ! (Loïs accourt voir ce qui se passe, avec d’autre passant). Dégager ! Mais reculer s’il vous plaît, reculer. (Clark soulève une autre plaque d’egout, descend et la referme). Appeler une ambulance ! Mais s’il vous plaît reculer. Appeler les pompiers, y a un type là-dessous. (Les gens accourent vers l’incident). Reculer, reculer. Rester pas là ! Faite reculer les gens ! (L’ouvrier qui est inconscient, est soulever. Son collègue l’attrape). Ca y es, ça y es, je vous tiens. (Il le pose sur le sol). Ca va aller maintenant. (Le blessée reprend connaissance et tousse. Loïs sort un calepin et prend des notes). Voilà, voilà. Doucement. (Clark accourt jusqu’à la journaliste). Rien de casser ? Ça va ?
Le blesser : Oui.
L’ouvrier : T’es sûr ? (Le blesser regarde Clark).
Le blesser : Cet homme-là. Cet homme, c’est lui qui m’a, qui m’a sauver. (Il tousse). Tirer moi de là. Aidez-moi à sortir.
Clark : Il est en pleine délire.
Loïs : Je le comprends. Vous êtes couvert de poussière. (Elle s’éloigne). Faite comme moi, ayez toujours une tenue de rechange au bureau.
Au Daily Planet
Clark sort de l’ascenseur et croise Jimmy.
Jimmy : Salut Clark.
Clark : Salut.
Jimmy : A t’à l’heure. (Les portes de l’ascenseur se referment, sans que le photographe n’ai pu monter dedans).
Clark : Mais où est-ce que tu vas ?
Jimmy : Loïs m’envoi récupéré le rapport chez Plats. Il a appelé ce matin, il espère qu’on va le lire. Je vais en faire une photocopie pour mes copains qui bossent au bureau d’analyse. (Jimmy observe le costume poussiéreux de Clark). Tu t’es battu ou quoi ? (Clark essaye d’enlever la poussière).
Clark : Sans commentaire. (Les portes de l’ascenseur s’ouvrent). A plus tard. (Jimmy va dans l’ascenseur. Cat s’avance vers le journaliste).
Cat : Bonjour beau gosse.
Clark : Ah, salut Cat. Oh, excusez-moi mais je peux pas...
Cat : Non. (Elle l’attrape par sa cravate). Je ne suis pas très sûr de vous excusez. Je vous ai demandé deux fois de dîner avec moi. Autant dire que c’est deux fois plus, que je ne l’ai jamais demandé à n’importe qui d’autre. Sachez-le. (Loïs sort de l’ascenseur et les regardent).
Clark : Désolé Cat mais je n’ai pas une minute à moi. (Loïs passe à côté de Clark et échangent un regard). Avec Loïs nous somme sur... (Il veut s’en aller mais Cat l’attrape de nouveau par sa cravate).
Cat : Hum. Pauvre Loïs. Une bosseuse, rien de plus. Hélas. (Clark et Cat se sourient).
Clark : Bon bah, je vais voir quand je pourrais placer ce dîner.
Cat : C’est ça...mais...ne tardez pas trop.
Clark : C’est d’accord. (La cravate glisse lentement des doigts de Cat. Clark s’en va).
Cat : Hum...j’adore quand la partie ce joue serrer.
Clark rejoint Loïs dans un bureau. La journaliste est en train de regarder le dossier Eprad, alors que Clark s’assoit à ses côtés.
Loïs : La chasse est encore ouverte ?
Clark :...Où en est-on ?
Loïs : J’ai bien dû téléphoner à cinquante d’employer qui travaillait sur Eprad en même que Plats, hélas, je n’ai rien pu savoir. Si ça se trouve, c’est peut-être qu’il n’y a rien de particulier. (Loïs boit une gorgée de sa tasse à café).
Clark :...Alors qu’est-ce qu’on fait ?
Loïs : Dans un premier temps, on remet un semblant d’ordre dans, dans le rapport de Plats. Ensuite il faudra qu’on arrive à prouver que le docteur Baines en a bien reçut une copie. Et s’il est bien fait mention du système de refroidissement, pourquoi Baines, n’a rien dit...j’espère que vous n’aviez rien prévu ?
Clark :...Je suis, tout à vous. (Il croise ses bras, les posent sur la table et met sa tête sur ses mains en souriant).
Appartement de Lex Luthor
Le docteur Baines est assise au bureau de Lex, vêtu d’un peignoir. Elle raccroche le téléphone, alors que Lex la rejoint, également habillé d’un peignoir chic.
Le docteur Baines : Sa y es. Messenger est au hangar.
Lex Luthor : Je savais que j’abandonnais l’affaire... (Il lui bise la main). A une professionnelle. (La jeune femme se lève et se met tout près de Lex. Un employé du docteur Baines, se trouve derrière eux, près de la porte). Qu’est-ce qu’il fait ici ?
Le docteur Baines : Il a une course à faire pour moi. Plats doit demeuré silencieux. Ces deux reporters, Clark Kent et Loïs Lane commencent à poser un problème...Loïs était là-bas ce matin. Elle a suivi le camion jusqu’au hangar.
Lex Luthor : Dans ce cas je vous laisse Plats et je m’occupe de la presse. (Elle fait signe à son employé de quitter la pièce, ce qu’il fait).
Le docteur Baines : Lex, dit-moi. Ces journalistes auraient-ils un quelconque intérêt pour toi ?...Clark Kent par exemple ?
Lex Luthor : Kent n’ai qu’un vulgaire, employé.
Le docteur Baines : Et Loïs Lane ?
Lex Luthor : Une jeune femme talentueuse. J’aurais pu espérer, quelque chose d’elle. Seulement hélas, ce n’ai pas une personne facile à séduire.
Le docteur Baines :...Comme moi. (Elle lui tourne le dos et s’éloigne. Lex la rejoint).
Lex Luthor : Moi, t’avoir séduite ? Je croyais plutôt qu’il s’agissait de l’inverse.
Le docteur Baines : Je te préviens Lex. (Elle se retourne vers lui). Surtout ne t’approche pas d’elle.
Lex Luthor : Antoinette, voyons tu me connais. Peut-être un peu trop. (Il s’approche du cou de la jeune femme). Tu sais bien que j’ai horreur des menaces. (Il lui bise le cou à plusieurs reprises).
Le docteur Baines : Ca m’est égal. (Lex s’arrête). Alors que nous touchons au but, il est hors de question que je lui cède, une once de terrain...et tu sais ce dont je peux être capable.
Lex Luthor : Oui je le sais...et c’est d’ailleurs, ce qui fait ton charme. (Ils s’embrassent puis Lex la porte dans ses bras).
Au Daily Planet-Nuit
Loïs et Clark essaye de remettre de l’ordre dans les notes de Plats, assit à un bureau.
Loïs : C’est un casse-tête. Rien ne marche, ni aucune date...on s’en sortira jamais. Puis en plus je meure de faim. Je mangerais bien des petits amuse-gueule chinois.
Clark : Euh, je sais où il faut aller. (Il se lève). Attendez-moi.
Loïs : Je vous ai pas dit ce que je voulais.
Clark : Je prendrais un assortiment. (Clark fait le tour du globe jusqu’en Chine puis il dépose tout ce qu’il a pris, sur le bureau).
Loïs : Ca a été rapide.
Clark : Oui, j’ai pris un raccourcit. (Loïs ouvre les boites).
Loïs : C’est encore chaud. (Elle mange). Hum, c’est absolument divin. (Une fois les boites à moitié vides, Loïs prend un gâteau et le casse. Elle sort un bout de papier du gâteau). C’est en chinois. (Clark prend le bout de papier). Oh, ne me dite pas que vous...
Clark : Qui contemple le ciel au fond d’un puits, le trouvera petit. (Dit-il avec un accent chinois).
Loïs : J’ai horreur de ça. J’ai toujours détesté les proverbes. (Clark sourit). Vous êtes quelqu’un d’étrange, Clark Kent.
Clark : Qui, moi ?
Loïs : Oui...mais je finirais pas trouver.
Clark : Vous croyez ?
Loïs : Hum, hum.
Clark :...Ça ne sera pas bien long.
Loïs : Certes, c’est mon métier de savoir lire entre les lignes. (Ils échangent un regard). Ne craquer pas pour moi cowboy. Je n’ai guère le temps pour ça. (Elle se lève). Aller. Retournons chez Plats. Il pourra peut-être nous aidez.
Dans la nuit, Loïs et Clark descendent d’un taxi, devant le bâtiment abandonner ou se trouve le docteur Plats. Clark, tiens un carton qui contient le dossier sur lequel le scientifique travaillait. Ils marchent dans les locaux ou se trouvent Plats.
Dans le bâtiment
Clark : Loïs. Laissez-moi passer devant.
Loïs : Ne soyez pas ridicule, j’en ai vu d’autre. (Elle ouvre une porte). La guerre, les crimes, les famines...docteur Plats ? (Il s’avance vers un fauteuil mais de l’électricité s’entend dans toute la pièce sombre).
Clark : Attendez, ne touchez à rien...attendez. (Ils découvrent Plats, assis dans le fauteuil, les pieds plonger dans une bassine, mort électrocuté. Loïs se réfugie dans les bras de Clark, horrifié).
La police est sur les lieux du crime. Loïs et Clark discute avec un inspecteur.
Loïs : Le suicide ? C’est tout ce que vous avez trouvé ?
L’inspecteur : Il avait fait plusieurs tentatives. Ni la porte, ni la fenêtre n’ont été forcées. Aucune trace de lutte. On a vu personne entrée, ou sortir.
Loïs : Nous étions sur le prouver, que sa théorie, que l’hypothèse sur laquelle il travaillait était juste. Il n’y avait donc…
Un autre policier : Hé. Quand on fait un barbecue, il ne faut pas oublier d’acheter la sauce. (Il sourit).
Clark : Cette personne s’appelait, Samuel Plats. C’était un savant, un scientifique, qui c’était fixer comme tâche le bien d’autrui. Etant donné les circonstances, je trouve votre sens de l’humour de très mauvais goût. (Dit-il au policier, qui baisse la tête).
Le policier :...Excusez-moi. (Dit-il honteux). Je suis vraiment désolé. (Loïs rejoint Clark, alors que le policier s'en va).
Loïs : Tout va bien ?
Clark : C’est de notre faute. On n'aurait jamais dû le laisser comme ça.
Loïs : Mais enfin...
Clark : Oui je sais mais nous aurions dû intervenir.
Loïs : Ecouter Clark, tout ce que nous pouvons faire, c’est prouver qu’il avait raison. Nous ne sommes pas au bout de nos peines...il est cinq heures et demie. Je propose qu’on aille dormir un moment. Je passerais vous prendre à neuf heures. (Elle s’éloigne).
Chambre d'hôtel de Clark-Matin
Clark est au téléphone avec ses parents, alors qu’il vient de sortir de la douche. Il porte une serviette autour de sa taille.
Clark : Oh, y a rien faire maman. Je me sens responsable.
Martha : Si tu avais pu l’aider, tu l’aurais fait voyons. (Dit-elle assise à côté de son époux, dans leur canapé).
Jonathan : Clark. C’est quoi cette histoire de c’gars qui a failli mourir dans une explosion ? Ta mère m’a dit qui t’avait reconnu.
Clark : Papa, ce type était encore sous le choc et personne n’a fait attention lorsqu’il ma désigner.
Jonathan : Un de ces jours, tu finiras par te faire piéger. Si jamais quelqu’un dans l’assistance à une caméra vidéo...
Martha : Mais enfin tu ne voulais pas qu’il laisse le pauvre homme mourir sans rien faire ?!...Ça va tes vêtements ? Tu ne veux pas que je te les raccorde ?
Jonathan : C’est trop facile. Ne change pas de sujet.
Clark : Ah bah tiens justement, en parlant de vêtement. C’est peut-être une idée idiote mais maman tu, tu as toujours la machine à coudre ?
Martha : Oui, je crois.
Clark : Alors j’aurais quelque chose à te demander...je voudrais que tu me fabrique, disons, un uniforme.
Jonathan : Un uniforme ?
Clark : Oui, un déguisement, en quelque sorte. Lorsque j’aurais besoin d’intervenir comme dans le cas de l’explosion, avec ça je... (Loïs frappe à la porte de son appartement). Maman je vous laisse. Loïs vient d’arriver.
Martha : Oh, c’est encore Loïs ? (Elle donne des coups de coude à son mari, en souriant).
Clark : A bientôt. (Il raccroche, remet ses lunettes et ouvre la porte. Loïs est subjuguer par le corps de Clark).
Loïs :...A neuf heures je pensais vous voir nu...prêt.
Clark : J’étais au téléphone. J’arrive tout de suite. (Elle entre dans l’appartement et regarde Clark qui se dirige dans la salle de bain. Il referme la porte derrière lui, alors que Loïs retire aussitôt son manteau. La journaliste ouvre tous les placards et le frigo de Clark, qui déborde de nourriture. Le jeune homme la rejoint, les cheveux sec et vêtu d’un costume impeccable. Loïs est étonner qu’il est fait aussi vite).
Loïs : Bon ben, on peut y aller. (Ils se dirigent vers la porte). Euh, voilà. J’aimerais que vous m’expliquer quelque chose. Vous vous nourrissez comme un enfant. Vous avez pourtant la taille, mannequin. (Elle sourit). Si vous avez un secret, je peux le connaître ? (Ils se regardent et Loïs secoue la tête. Ils quittent l’appartement).
Au Daily Planet
Loïs est assise à son bureau, en train de discuter au téléphone avec un homme, alors que le haut-parleur de l’appareil est activé.
Loïs : Mais Anderson, s’il y a des contusions, c’est que le docteur Plats a sans doute été victime de...
Anderson : Ça ne veut rien dire du tout. Il a très bien pu ce cogner la semaine dernière. Je suis désoler mais l’autopsie est formel, il s’agit d’un suicide.
Loïs : Non je n’y crois pas. Je vous rappellerais. (Elle raccroche).
Clark : Loïs. (Il la rejoint et ils regardent droit devant eux).
Loïs : Qui est-ce ?
Clark : C’est, madame Plats. Avec sa fille Emmy.
Emmy : Maman, je devrais être chez Susanne depuis une heure. (Dit-elle dans un fauteuil roulant).
Madame Plats : Oui, je sais chérie. S’il te plaît, garde mon manteau. (Elle lui donne son manteau). Et soit gentille, va plutôt m’attendre à côté de l’ascenseur. Ça ne sera pas long.
Emmy : Au revoir. (Dit-elle au deux reporters. Sa mère la pousse un peu plus loin. Puis elle rejoint les journalistes).
Madame Plats : J’ai...je ne lui ai encore rien dit. (Les deux reporters hochent timidement la tête). Vous savez, tout ce que nous avons fait, c’était pour Emmy. Ce laboratoire sur Prométheus c’était notre dernier espoir mais hélas...
Loïs : Madame Plats, lorsque vous et Emmy avaient quitté votre mari…
Madame Plats : Non...ce n’ai pas nous qui sommes partit. C’est lui qui nous a demandé de le faire, à la suite des recherches qu’il avait entreprise, il se sentait menacer. Il ne voulait pas nous voir courir le moindre risque, alors, il nous a obligé à partir.
Loïs : Auriez-vous une quelconque idée de la personne...
Madame Plats : Une chose est certaine. Samuel savait que Prométheus allait être saboté et c’est justement pour ça qu’il est mort hier...je vous en prie, aidez-moi. Je refuse que notre fille grandisse en pensant que son père à préférer ce suicidé.
Clark : Nous allons essayer. C’est promit.
Madame Plats : Merci. (Elle sert la main de Loïs. Un flash spécial à lieu sur un écran de télévision).
Une journaliste télé : Nous interrompons nos programmes, pour vous diffuser un flash spécial, en direct du Congrès des Nations. (Une femme de nationalité indienne, prend la parole avec tous les drapeaux du monde derrière elle, ainsi que d’autres hommes politique).
La femme indienne : J’ai le plaisir de vous annoncer qu’il a été unanimement décidé, que le projet Prométheus, serait maintenu. (Luthor qui regarde la télévision, est stupéfait).
Un journaliste : Rejetez-vous la proposition de monsieur Luthor ?
La femme indienne : Le Congrès des Nations tiens à présenter sa plus profonde gratitude, à monsieur Lex Luthor, pour la générosité de son offre mais nous avons l’intime conviction, que la station Prométheus doit suivre le but, qu’elle c’était originalement fixée. (Tous le Daily Planet suit le flash spécial). Celui de la création d’un laboratoire spatial, grâce à la participation de tous, pour que la science puisque connaître un réel essor. (Lex est dépité). Le vol transportant les premiers civils... (Lex brise une maquette de la station, sous le coup de la colère). Reste maintenus. Les fusées transporteront un élément auxiliaire d’assemblage. Si nous connaissions un autre problème, nous saurions dans l’obligation d’annulée cette mission. Nous n’envisageons pas une telle perte. Nous envisageons le succès.
Jimmy, Loïs et Clark, sont dans un bureau.
Jimmy : Ca y es, j’ai eu les résultats de mes copains du labo. Ils ont recréé les conditions du décollage par hologramme et c’était vrai. Ce que le docteur Plats a écrit est exact. Il s’agit bien d’un acte de sabotage. Il est tout à fait impossible que ça soit accidentel. Bravo. (Tout le monde sourit puis Jimmy quitte la pièce).
Loïs : Il avait raison. Plats avait raison.
Clark : Y a plus qu’à écrire l’article.
Loïs : Je vais écrire l’article.
Clark : Avec mon aide ?
Loïs : Avec votre aide, on pourra surtout réhabiliter la mémoire du docteur Plats.
Clark : C’est jouer sur les mots.
Loïs : Oh, Clark. (Ils se prennent dans les bras en souriant et échangent un regard).
Clark :...Si, si nous allions dîner ?
Loïs : Oh, vous croyez ?
Clark : Pour fêter l’évènement.
Loïs :...D’accord. Allons dîner. (Ils se sourient). Oh attendez, je peux pas. Je suis prise. J’avais déjà prévu autre chose.
Clark :...Luthor ?
Loïs : Exact. (Ils quittent le bureau).
Clark : Vous, vous seriez prête à aller jusqu’au où ? Pour obtenir une interview de lui ? (Ils marchent dans les locaux du journal).
Loïs : Je doute fort que cela vous concerne. Mais je tiens à vous préciser que c’est pour la bonne cause.
Clark : Y a quand même un problème chez vous. Vous ne pouvez pas vous empêcher d’être dur. Toujours sur la défensive.
Loïs : Je m’éprise l’inexpérience.
Clark : Quel snob. (Ils s’arrêtent).
Loïs : Pardon ?
Clark : Vous êtes snob, Loïs.
Loïs : De la part d’un pèquenot, j’avoue que c’est un peu... (Elle s’éloigne mais elle revient vers lui). J’ai trois principes dans la vie. Ne jamais coucher pour rapporter un article. Ne jamais laisser personne me doubler et ne jamais mélanger vie privée et vie professionnel. C’est impératif. (Elle s’en va).
Clark : Mais enfin... (Il ne là rattrape pas).
Appartement de Lex Luthor-Nuit
Loïs, vêtue d’une robe de soirée, dîne aux côtés de Lex, vêtu d'un msoking.
Loïs : Vos parents on disparue tout deux quand vous aviez quatorze ans.
Lex :...Appelez plutôt ma secrétaire. (Il s’essuie le coin de la bouche avec une serviette, alors que Loïs coupe sa viande). Elle vous enverra une biographie.
Loïs : Je n’aime pas lire, ce que je n’ai pas écrit. Ce qui m’intéresse, c’est le véritable Lex Luthor. Ces indignations, ces convictions profondes...ces désirs.
Lex : Le plaisir. (Il lève son verre, qu’un de ses majordomes vient de remplir). La quête du plaisir. (Loïs prend des notes). Vous semblez étonner ?
Loïs : Je pensais entendre le mot pouvoir.
Lex : Le pouvoir est un moyen et non une faim.
Loïs : A l’âge de vingt et ans vous monter votre première grosse société...très vite la rumeur parle de raquette sous la menace. Est-il que le conseil d’administration est été...
Lex : Comment trouver vous la nourriture ? (Loïs sourit).
Loïs : C’est excellent...il est vrai que lorsque je travaille...
Lex : Tout pour le travail, rien pour le plaisir. C’est votre seul crédo semble-t-il. (Il s’approche d’elle).
Loïs : Il est un peu exagérer de...
Lex : Pourquoi ne pas vous abandonnez au plaisir de cette soirée. (Il lui donne un verre). A celui d’être ensemble...dénoué vos cheveux, desserrer votre cravate. (Loïs sourit et rougie).
Loïs : Je n’ai pas de cravate.
Lex : Mais vous êtes si tendu. (Il lui prend la main et lui caresse). Pour une fois, faite tombée vos défenses.
Loïs : Je crois que vous faite erreur, quant au but de ce dîner, Lex. (Elle range ses affaires).
Lex : Bon surtout n’allez pas croire que vous êtes ici simplement parce-que vous êtes, une femme extrêmement séduisante. Ça serait nous manquer d’estime l’un envers l’autre...bon, vous voulez une interview ? Un scoop ? Très bien alors dans ce cas, je vais vous donner satisfaction...mon génie ne se réduit pas à un compte en banque, ni à une collection d’entreprise...ce qui est intéressant, c’est de miser sur des gens. Vous êtes une personne rare. Une personne dotée de possibilité. De potentialité et vous avez une intelligence, une spiritualité et une vision qui vous évite d’être superficiel...c’est pourquoi je vous dis, sachant pertinemment qu’il n’y aura aucun mal entendu... (Il lui prend la main à nouveau). Vous êtes belle Loïs. (La jeune femme rougie encore).
Loïs :...Lex, j’ai un article à écrire ce soir. Il faut que je rentre.
Lex : Pas de dessert ?
Loïs : Euh, non. (Elle sourit). Je ne prends jamais de dessert.
Lex : C’est dommage...vous ne savez pas ce que vous manquez.
Devant l'immeuble de Loïs-Nuit
Azabi conduit Lex et son invité. Luthor raccompagne Loïs devant sa porte, sous les yeux de Clark, qui est un peu plus loin. Le milliardaire embrasse la journaliste). Bonsoir. (Il s’en va).
Appartement de Loïs
Loïs rentre chez elle et claque la porte, furieuse. Lucy la rejoint dans le salon.
Lucy : Alors ?
Loïs : C’est fichu ! Je peux lui dire adieu à cette interview.
Lucy : Est-ce qu’il est d’accord pour te revoir ?
Loïs : Oh, j’en sais rien ! (Sa sœur lui masse les épaules). Je crois que oui.
Lucy : Tu crois que oui ? (Clark vole dans les airs, prêt de la fenêtre de Loïs qui se trouve à plusieurs étages). J’espère que toi tu as dit oui. Lex Luthor est le célibataire le plus en vue de la planète. Le prince charmant à frapper à ta fenêtre.
Loïs : Reviens sur terre Lucy. Ce n’ai pas un conte de fée, on est en pleine réalité. (Loïs se dirige vers sa fenêtre et referme les rideaux. Clark s’envole le plus loin possible, déçut).
Au Daily Planet
Perry est assis à son bureau, en train de lire l’article de Loïs et Clark, qui sont dans la pièce avec Jimmy.
Perry : Voyons si j’ai bien compris ou vous voulez en venir. Vous me demandez, de publier un article, déclarant que le projet Prométheus a bien été saboter et que, que si la navette spatial Messenger à exploser, la prochaine navette qui doit transporter des personnes sur la station orbital Prométheus, dont le lancement doit avoir lieu d’ici, trois jours. A malheureusement toute les chances de faire, boum ! Elle aussi ! Tout cela naturellement, vous le tenez d’un dénommer Samuel Plats, un individu banni de la communauté scientifique. Sous contrôle psychiatrique permanant, suite à plusieurs tentatives de suicide et qui serait, bien évidemment, mort assassiner. (Il fait le signe des guillemets avec ses mains). Est-cela que vous voulez me voir publier ?
Loïs : Chef...
Perry : Je veux des faits ! Car les faits sont la règle de base du Daily Planet ! (Il brandit ses poings fermer). Alors sortez et tâcher de m’en rapporter ! (Il redonne l’article à Loïs. Clark, Jimmy et la jeune femme quittent le bureau).
Loïs : Ce qu’il nous faut, ce sont des preuves matérielles.
Clark : Je vais voir si on peut obtenir l’autorisation d’aller jeter un petit coup d’œil sur...
Loïs : Le docteur Baines n’acceptera jamais. Si ça trouve elle est dans le coup et puis nous n’avons hélas pas le temps de jouer franc jeu. La navette doit décoller dans trois jours
Clark : J’appelle quand même. Il y aura peut-être quelqu’un à Eprad qui acceptera.
Loïs : Essayer toujours. (Clark s’en va).
Jimmy : Où tu vas ? (Dit-il à Loïs, qui s’éloigne).
Loïs : Nulle part.
Jimmy : Je vais avec toi.
Perry pose une boite sur son bureau et l’ouvre.
Perry : Feuille de pava. (Il respire quelques feuilles et les manges).
Loïs et Jimmy sont dans un bâtiment, ou des travailleurs et des scientifiques, sont en train de construire une navette spatiale. Le photographe et la journaliste marchent d’un pas presser et cacher, pour ne pas se faire repérer.
Dans le bâtiment-Nuit
Jimmy : J’imagine qu’il est inutile de te le préciser mais ce que tu fais est dangereux.
Loïs : Exact. Alors va retrouver ta rubrique nécrologique et je te rapporterais le scoop moi-même. (Ils s’arrêtent devant une porte, ou il observe ce qui ce passe dans la pièce, depuis une fenêtre).
Jimmy : Comment veux-tu qu’on entre ?
Loïs : Qui te parle d’entrée ? (Ils regardent des techniciens travailler sur la construction d’une fusée).
Jimmy : Quoi ?
Loïs : J’étais là lorsqu’ils ont chargé l’épave de la navette dans le camion. Toute la partie gauche était endommager...c’est pas celle-là...ils ne travaillent pas sur Messenger. (Ils continuent à avancer dans les locaux discrètement. Ils s’arrêtent devant une porte, que Jimmy réussit à forcer avec une épingle). Chapeau dit dont. Où est-ce que tu as appris ça ?
Jimmy : Au foyer des mineurs. C’était pas la crème. (Ils entrent dans une pièce. Dans une autre partie du bâtiment, le docteur Baines est au téléphone avec Lex, qui est dans son luxueux appartement).
Le docteur Baines : Ton amie Loïs Lane est entrée. (Elle regarde Lois et Jimmy depuis un écran de contrôle).
Le docteur Baines : Il est temps que tu décides à l’éliminer
Jimmy : Y a pas un chat dans ce coin-là.
Lex Luthor : Tu veux que je tue la meilleure journaliste du Planet ?! Ma surprise est totale Antoinette.
Le docteur Baines : Elle a des soupçons à mon égard. Tu as dit que je ne serais jamais impliqué.
Lex Luthor : Elle n’a aucune preuve. Elle ne sait rien. Les preuves c’est parfois tout ce qui sépare un criminel, d’un brillant homme d’affaire. Où d’une femme. Je t’ai dit que je me chargeais d’elle.
Le docteur Baines : J’ai faits ça pour toi Lex.
Lex Luthor : Et tu as été payé, très largement. A ce propos, ton solde t’attend dans l’hélicoptère, comme c’était prévu et je te promets, que tu n’as aucun souci à te faire. (Ils raccrochent).
La scientifique prend un revolver. Pendant ce temps, Loïs et Jimmy continuent leur exploration.
Jimmy : Mais qu’est-ce que tu espères au juste ? Tu sais à quoi ça ressemble, toi, des isolateurs de particule ? (Ils s’avancent devant la navette Messenger, qui est carbonisée et abandonnée). Oh là, là. Super.
Loïs : Vas-y. Prend un maximum de photo, on les fera analyser plus tard. Et ensuite on pénétrera dans le bureau de Baines. (Jimmy prend des clichées de la fusée). J’ai la conviction profonde quelle là ce dossier. Depuis le premier instant je suis convaincu quelle nous mène en bateau. (Un homme de main du docteur Baines, s’empare du photographe par derrière). Rien que la façon dont elle dévisageait Clark, n’avait rien de professionnel. (Jimmy perd connaissance à cause de l’étranglement de son agresseur, qui le transporte un peu plus loin). Jimmy?...Jimmy? (Le malfrat s’en prend à Loïs qui se défend et met son agresseur à terre. Elle s’accroupit alors près de Jimmy). Jimmy ? Jimmy lève-toi.
Le malfaiteur sort un couteau mais la journaliste le désarme et réussit à l’assommer avec des prises de karaté. Lorsqu’elle se retourne, elle découvre que le docteur Baines pointe un revolver sur elle.
Le docteur Baines :...Très impressionnant Loïs. De nos jours une femme doit savoir se défendre. (L’homme de main de Baines attrape la journaliste et l’emmène plus loin).
Au Daily Planet-Nuit
Tous les journalistes sont au travail dans une pièce, Perry les rejoints.
Perry : Excusez-moi de vous convoquer à une heure aussi tardive mais il me faudrait des journées de trente-six heures. Où sont Loïs et Jimmy ? (Les journalistes s’assoient). Clark ?
Clark : Normalement il devrait être là.
Perry : Bah tant pis. (Il s’assoit). Nous commencerons sans eux...alors voyons. Le bouleversement suite au changement de sexe du petit fils de sa majesté. J’avoue que le sujet me laisse assez perplexe. (Clark se lève et se dirige vers la porte). Clark. (Celui-ci se retourne vers le chef). La réunion n’est pas terminée.
Clark : C’est pas le genre de Loïs ou de Jimmy de manquer une réunion. Je vais essayer de voir si je peux les joindre. On ne sait jamais.
Perry :...Si y en a que ça intéresse, je continue. (Clark quitte la pièce). Bon alors, j’en étais où déjà... (Clark se rend dans une salle des archives et ouvre la fenêtre mais Perry entre dans la pièce. Le jeune s’assoit, sur le rebord de la fenêtre). Kent ? Oh Kent, vous êtes là ?
Clark : Oui chef.
Perry :...On m’a dit que vous étiez là.
Clark : Oui chef.
Perry : Vous avez téléphoné ?
Clark : J’allais justement le faire.
Perry : Ah...vous euh, vous avez besoin de quelque chose ?
Clark : Non chef. Non merci.
Perry : Hein, hein...bon dans ce cas je retourne dans mon bureau.
Clark : Oui chef.
Perry : Vous comptez sortir euh, de cet endroit ?
Clark : Très vite. (Il se lève et met les mains dans les poches de son pantalon). Très très vite. (Perry quitte la pièce, un peu interloqué).
Clark se rend dans le bâtiment ou se trouve Loïs et Jimmy.
Dans le bâtiment-Nuit
Loïs : Vous avez tort de faire ça. Au journal, tout le monde sait que je suis ici. (Clark qui vient d’entendre la voix de Loïs, baisse ses lunettes pour regarder à travers un pur. Il découvre la journaliste, attachée les mains derrière le dos contre un pot, assise au sol. Baines et son homme de main sont auprès d’elle. Clark fait voler la porte à travers la pièce et entre).
Clark : Libérez-là. (Loïs est ravi de le voir mais le malfaiteur pointe un revolver sur Clark). Posez vos armes ou je, je...je...
Le docteur Baines :...Où vous quoi ?
Clark : Euh... (Loïs lève les yeux au ciel, alors que Clark hoche les épaules). Rien.
Les deux journalistes se retrouvent alors attachées au même poteau, dos à dos et seul dans une pièce sombre.
Loïs : J’avais dit à Perry que je voulais un type qui soit solide et qu’est-ce que j’ai eu ? Un amateur. J’avoue que c’était réellement génial comme arriver. Ils ont même faillit avoir la trouille, sauf hélas qu’il aurait été plus efficace, d’appeler la police.
Clark : Loïs.
Loïs : Surtout ne me dite rien ! Je sais que vous êtes comme tous les mecs de Métropolis, avec un taux d’hormones mal en bandoulière, qui vous fait jouer les héros. Baines va nous tuer, je suis d’ailleurs très étonner que ça ne soit pas déjà fait. (Clark se défait de ses chaînes).
Clark : Loïs, j’ai simplement essayé de...
Loïs : Pour un coup d’essai, bravo ! C’est gagner.
Clark : Mais à qui la faute d’abord ? C’est pas moi, qui est décidé de venir ici...
Loïs : Qu’est-ce que vous insinuer ?! Que c’est ma faute si on est là ? C’est ça ? J’ai eu le courage de venir voir, au lieu de rester les bras croisé !...Qu’est-ce que je raconte ? C’est sûrement ma faute…oh, seigneur. (Elle est triste). C’est, c’est vraiment signer Loïs Lane. Moi je suis du genre à plonger dans une piscine, sans vérifier s’il y a de l’eau mais c’est la seule façon pour moi, de faire les choses. Il n’y a rien faire, je suis comme ça. C’est ce qui me rend respectable aux yeux des autres. Aux yeux de ceux qui m’emploies. Vous vous souvenez de mes trois principes essentiels de la vie ?
Clark : Hum, hum.
Loïs : Et bien...je les ai tous trahie...dans le fond, je finis toujours par, donner de ma personne pour un article.
Clark : Vous êtes sorties avec un type du journal ?
Loïs : Oui.
Clark : Et c’était qui ? Jimmy, avoué.
Loïs : Ne soyez pas ridicule...ça remonte loin. A l’époque je venais juste d’entrée au Daily Planet. Claude. Il était français. Je devais être très amoureuse de lui, en tout cas je le croyais...un soir, je lui ai parlé de mon article et le lendemain matin, plus personne. Partit, envoler. Il m’avait piqué mon article pour lequel il a reçu une distinction. Il ne m’a jamais remercié pour mon coup de pouce.
Clark : Oh, je crois que lorsqu’on est très amoureux, on a beau vouloir ce préservé, faire preuve d’une certaine vigilance, ça ne sert à rien. On reste vulnérable.
Loïs : Nous sommes des êtres humains. (Clark soupire). D’ailleurs, aujourd’hui ça n’a plus aucune importance. Finit Loïs Lane.
Clark :...Loïs. Vous vous souvenez quand, vous parliez de respect ? Alors je voulais que vous sachiez que tout le monde au Planet, je dis bien tous. Son convaincues que vous êtes le meilleur reporter qui existe au monde. (Loïs pleure). Perry me l’a dit le premier jour où je l’ai rencontré.
Loïs : Il l’a dit ?
Clark : Hum. Oui. D’ailleurs j’ajouterais et tant pis si ça vient d’un gri bouillard de plouc ville mais moi je vous trouve formidable.
Loïs : Oh, Clark. (Dit-elle en larme). Je suis désolé. Ce n’ai pas ce que je voulais dire. Aujourd’hui il est trop tard pour m’excuser mais je n’ai jamais... (Le docteur Baines s’avance vers eux).
Le docteur Baines : Alors. J’espère que vous m’excusez pour l’accueil...jamais je n’ai, sue jouée les maîtresses de maison.
Loïs : Juste une seule question...pourquoi ?
Le docteur Baines : C’est très simple Loïs...pour l’argent. La conquête spatiale est semblable à tous les autres. Les premiers arrivés sont toujours ceux, qui se servent en premier. Je suis navrer que vous ne puissiez pas apprécier la fin de cette délicieuse soirée mais un accident est si vite arrivé.
Loïs : Un accident ?
Le docteur Baines : Oui...voyez-vous, suite à une défaillance du système de positionnement sur orbite, du mono myélite hydrazine... (Elle ouvre un robinet et un liquide jaune clair s’en échappe). C’est trouver au contact de tétroxite d’azote. (Elle ouvre un autre robinet d’une cuve rouge. Un liquide vert s’écoule, prêt à ce mélangé à l’autre produit). Malheureusement, trois journalistes, qui avaient eu l’imprudence d’entrée dans la zone interdite, l’on payer de leur vie. (Dit-elle en caressant la joue de Clark puis elle lui donne un baiser et s’en va. Le journaliste défait ses liens et libère Loïs. Il la relève).
Loïs : Vous avez réussi ?
Clark : Le chaînon manquant. Allez, venez. (Ils prennent Jimmy et s’enfuit en courant mais le mélange entre les deux produits dangereux, à lieu. Une forte explosion ce produit, Clark agrippe Loïs et Jimmy et s’envole dans les airs jusque dehors comme propulser par l’explosion. Ils atterrissent dans une flaque de boue).
Loïs : Comment est-on arrivé ici ? (Ils regardent le bâtiment brûler).
Clark : Bah j’en sais rien c’est, c’est sans doute le souffle de l’explosion qui nous a propulser jusqu’ici. (Soudain, un hélicoptère s’envole dans les airs).
Loïs : Regarder. (L’appareil explose en plein vol. Lex se repasse la scène, depuis un écran de contrôle chez lui).
Lex : Bonne nuit Antoinette...fait de beaux rêves.
Au Daily Planet-Jour
Loïs qui porte un chapeau bleu pailleter, pose aux côtés de Clark et de Jimmy qui porte un chapeau rouge, en tenant son article. Loïs lie le gros titre, alors que les locaux sont spécialement décorer pour l’occasion.
Loïs : L’auteur du sabotage de la navette Messenger, trouve la mort dans une explosion ! (Tous les journalistes fêtent l’évènement, en buvant du champagne, alors que les deux journalistes sont photographiés).
Une journaliste : Tu as eu peur Jimmy ?
Jimmy : Hein ?! (Il retire son chapeau aussitôt). Non ! Non mesdemoiselles, pas du tout. (Il rejoint tous un groupe de fille). J’étais, j’étais d’avantage préoccuper par une, question d’importance, à savoir, nous sortirent de là afin d’écarter tout danger lors du prochain lancement. (Perry rejoint toute son équipe).
Perry : Je viens de parler aux techniciens en place à Eprad. Ils ont passé toute la navette au peigne fin et je vous le donne en mille. Ils ont découvert qu’on avait saboté les boucliers de protection. C’est arranger, le lancement aura lieu demain matin. (Tout le monde applaudit). Je suis désoler Loïs, c’est non, je regrette...
Loïs : Mais enfin, chef.
Perry : La presse est interdite à bord.
Loïs : C’est pourtant l’occasion pour le journal, d’avoir la primeur de l’évènement. Embarquer à bord à bord de la navette est impératif.
Perry : C’est sans espoir Loïs.
Loïs : Très bien. Une autre fois, peut-être.
Perry : Ah Clark ! Vous serez heureux d’apprendre, que madame Plats et sa fille, font parties du voyage.
Clark : C’est très gentil, merci. J’en suis ravi. (Le chef s’en va, alors que Loïs se tourne vers Clark).
Loïs : Euh, Clark...disons que, enfin, je voulais vous remerciez pour votre aide précieuse, sur cette affaire.
Clark : Je suis content que ça est réussi.
Loïs : Euh, une dernière chose...si vous soufflez mots de mes petites confidences, je vous jure que je n’irais tout en bloc...
Clark : Je sais, je sais. Ayez confiance en moi Loïs.
Loïs : Ouais. J’ai déjà entendu ça quelque part. (Elle s’éloigne).
L’un de ses collègues : Bravo Loïs, t’es la meilleure ! Bravo. (Clark sourit en secouant un peu la tête).
Au centre de contrôle d’Eprad-Nuit
Tous les techniciens sont assis, prêt à assister au lancement de la navette.
Un haut-parleur : Centre de contrôle, à vous. (Un homme du projet, met un casque avec un micro sur sa tête).
L’homme : Tous les systèmes de surveillance doivent être activés. (Des ingénieurs appuie sur quelques boutons, en regardant la navette depuis un écran de contrôle).Secteur sept, un voyant rouge reste allumer. Avis de contrôle, ais de contrôle secteur sept. (La voix d’une femme résonne dans haut-parleur, tout près de la navette, dans la nuit).
Une femme : Attention, attention. Tous le personnel au sol doit se rendre au portique de lancement.
A Smallville-Nuit
Jonathan apporte une tasse de café à son fils, qui est assis à table.
Jonathan : J’avoue que je suis perplexe quand à ton uniforme.
Clark : Ça va marcher. J’t’assure. (Insiste-t-il). Si j’ai un déguisement efficace, je n’aurais plus à craindre de me montrer tel que je suis papa. (Martha pose ses mains sur les épaules de son fils).
Martha : Très bien. Alors allons-y.
Clark essaye d’abord un costume tacheter, avec des collants vert. Puis il en essaye un tout vert, avec un masque de la même couleur sur les yeux et une casquette bleu avec des flammes jaune sur le côté. Quand à Martha, elle coud, coupe et prend les mesures de son fils. Clark essaye un costume pourpre de la tête aux pieds.
Puis il essaye des bottes, marron, puis verte et enfin orange. Il essaye ensuite un costume bleu, avec quelques traits jaune et rouge sur l’abdomen. Martha est allongée sur son lit, épuisée, en train d’attendre que son fils revienne de son essayage). Qu’est-ce que tu penses de celui-là?
Clark : J’suis pas très convaincu. (Clark entre dans la chambre, habillé du costume de Superman tout simple. La mère et le fils, admire le résultat devant un miroir). Comment tu me trouves ?
Martha : Bah, une chose est sûr c’est pas ton visage qu’on regardera.
Clark : Maman !
Martha : Oh, lorsqu’ils disent que son épouse la silhouette, c’est vrai. (Ils rient tous les deux et se sert l’un contre l’autre). Attends, voyons. Je crois qu’il manque un, petit quelque chose...oui, un petit quelque chose...je sais ! (Elle prend une valise sous son lit).
Clark : Qu’est-ce que c’est ? (Elle ouvre la valise puis elle prend une couverture bleu).
Martha : La petite couverture dans laquelle on ta trouver il y a longtemps. (Puis elle prend le « S » de Superman). Avec ceci. (Clark s’approche devant le miroir, avec ses bottes et son emblème sur la poitrine. Il sert sa mère contre lui). Tes parents seraient fiers de toi...comme nous.
Clark : Merci maman. (Il s’admire encore devant le miroir). J’suis pas, très convaincu pour la cape.
Martha : Au contraire, ça sera du plus belle effet quand tu voleras. (Clark retire ses lunettes).
Jonathan : Hé, venez voir tous les deux ! La navette va bientôt décoller ! (Dit-il assis dans son canapé, en train de regarder la navette spatial, qui s’apprête à décoller. Martha et Clark le rejoignent).
Un journaliste télé : Ce sont les toutes dernières vérifications, avant l’ordre de lancement. Les personnes admises à bord, ont préalablement...
Jonathan : Sa y est. Tout le monde a embarqué.
Un journaliste télé :...Leur capacité à supporter certaines conditions physiques. (La télévision montre toute un groupe de personnage, vêtu de combinaison jaune montée à bord de la navette. Madame Plats et sa fille, son également du voyage). C’est la toute première fois, qu’un échantillon aussi important d’individu, a pu être sélectionné pour un tel voyage.
Jonathan : C’est une occasion historique. Tu te souviens lorsque tu étais enfant ? Neil Armstrong avait marché sur la lune. (Il se retourne vers son fils, qui est vêtu de son costume de super-héros. Clark est souriant et fier).
Clark : Qu’est-ce que tu en penses ?
Jonathan : Hein, tu es bien le même. (Dit-il souriant).
Martha : Ton père a raison. Qu’est-ce qui se passera si on te reconnaît ?
Clark : La question ne se pose pas. Parce-que là ce n’ai pas, moi. (Il met et enlève ses lunettes). Oui ?
Martha : Ah...oui.
Un journaliste télé :...Aujourd’hui des hommes, des femmes et des enfants, ouvrent pour nous la porte de l’espoir. L’espoir pour tous ceux qui souffrent.
Près de la navette-Nuit
Un haut-parleur : Attention à tout le personnel. Nous allons commencer la phase finale du compte à rebours. (Voix-off d'une femme. Loïs s’apprête à embarquer dans la navette. (Une voix d’homme résonne dans les haut-parleurs).
Un autre haut-parleur : Système de propulsion sous contrôle...connexion des propulseurs de maintien de l’altitude. Synchronisation des données de vols. (Voix-off d'un homme. Loïs, embarque. Un homme en charge des opérations, portant un casque avec un micro, suit tous ce qui se passe depuis un écran de contrôle).
Salle de contrôle
Un homme : Tableau de contrôle principales, transférer sur ordinateur. (Il appuie sur une touche pour ce que s’il s’apprête à dire résonne dans tout le bâtiment). Moins trois minutes. Ordre à tous le personnel technique de bien vouloir descendre. (Loïs entre dans l’une des nombreuses cabines de la navette).
Un autre haut-parleur : Confirmation du centre de contrôle. Les équipes techniques ont quitté la navette. (Voix-off d'un homme. La journaliste se renferme). Voyant vert, dans tous les secteurs. Pression, OK.
Une journaliste commente à la télévision, ce qui est en train de se passer.
La journaliste : Sommes-nous en ligne ? Vous nous receveur ? (Les haut-parleurs dans le centre de commande, résonne encore).
Un autre haut-parleur : Largage des cordons de raccordement. Eprad, vous prenez le contrôle. (L’homme en charge du projet, s’adresse à tout son personnel).
Un homme : Une minute avant le décompte.
A Smallville-Nuit
Toute la famille Kent est devant le poste de télévision.
Jonathan : Ca va bientôt décoller.
Dans la navette
Loïs s’attache, alors que les haut-parleurs résonnent toujours.
Un autre haut-parleur : Secteur huit, contrôler tous les témoins. (Voix-off de femme).
Un autre haut-parleur : Secteur huit, vérifier. (Voix-off d'un homme).
Un autre haut-parleur : Tout est OK, rien à signaler.
Dans la salle de contrôle
L’homme en charge du projet, s’adresse encore à son staff.
Un homme : Compte à rebours dans quarante-cinq secondes.
Un autre haut-parleur : Pression combustible, OK. (Voix-off de femme).
Un autre haut-parleur : Deuxième étage, zone deux, cinq, six, sept, OK. (C’est une autre voix de femme. Loïs aperçoit une bombe. La journaliste se détache et s’approche de l’explosif). Zone trois et quatre, OK.
Un autre haut-parleur : Cabine, pression maximum. Chambre de combustion en préchauffage. (C’est une voix d’homme).
Un autre haut-parleur : Tout le personnel technique est prié de dégager la zone de lancement... (C’est une voix de femme).
Loïs : Oh mon dieu, c’est une bombe. C’est pas vrai. (Elle se dirige vers la porte de sa cabine). Une bombe ! (Elle court dans la navette). Au secours, aidez-moi, y a une bombe !
Un autre haut-parleur : Les appels de services sont le douze, le quinze et le dix-huit. (C’est une voix d’homme. Loïs essaye de trouver une issue mais la fusée est sur le point de s’envolée). Equipe de sécurité, vous passez en manuel.
Un haut-parleur : Etanchéité du réservoir principal.
Un autre haut-parleur : Température de l’échangeur, correct. (Loïs essaye de désamorcer la bombe).
Un haut-parleur : Prêt à l’allumage. (La journaliste coupe des câbles de la navette avec une pince. Dehors, les propulseur s’activent). Enclenchement des moteurs principaux. Mise à feux de la propulsion. (C’est une voix de femme).
Un haut-parleur : Condition d’allumage parfaite. (Les Kent sont toujours river sur leur télévision).
A smallville
Jonathan : Cette fois c’est partit.
Dans la salle de contrôle
L’homme en charge du projet, s’adresse à son équipe.
L’homme : Trente seconde avant le décollage. (Un scientifique s’avance vers lui).
Le scientifique : Défaillance sur le circuit principale.
L’homme : Suite à une défaillance électrique, nous suspendons le compte à rebours à vingt-neuf secondes et nous procédons à une vérification. (Loïs vient de tout entendre, malgré les alarmes qui retentissent dans toute la navette. Le compte à rebours de la bombe, continuent de se dérouler. Les Kent sont obnubilés par tout ce qui se passe).
A smallville
Jonathan : J’arrive pas à le croire. Ils sont vraiment maudits. C’est pas de chance.
Le journaliste télé : Interruption du compte à rebours à vingt-neuf secondes du lancement de la nouvelle navette. (Jonathan se retourne vers son fils, qui n’est plus là).
Jonathan : Clark. (Leur porte est ouverte).
Le journaliste télé : On parle de défaillance électrique. Il semblerait que les ordinateurs signalent, un problème au niveau du circuit principal. (Martha et Jonathan se recentre sur leur écran de télévision).
Près de la navette
Clark vole dans les airs, au-dessus d’un groupe de personne, venu assister au lancement, au plus près de la navette.
Un homme : Quelqu’un peut me dire ce que c’est, ça ? (Il montre le super-héros du doigt).
Un autre homme : On dirait un oiseau.
Un autre homme : Un avion ? (Un homme observe Clark avec des jumelles).
Un homme : Non, c’est juste un gars avec une paire de collant et une cape. (La foule applaudit, lorsqu’ils se rendent compte que le sauveur se dirige vers la navette. L’homme en charge du projet, découvre Clark sur son écran de contrôle).
L’homme : Comment a-t-il pu entrer ?
Dans la navette
Le super-héros se dirige vers la bombe, près de Loïs. Il arrache l’explosif.
Loïs : Allez-vous-en. Touchez pas à ça. D’où est-ce que vous sortez d’abord?!C’est une bombe. Si jamais... (Superman met la bombe dans sa bouche, qui explose. Le super-héros rote, sous les yeux stupéfaits de Loïs).
Clark / Superman : Excusez-moi.
Loïs : C’est insensé. Qui êtes-vous ? (L’homme à la cape se contente de sourire).
Dans la salle de contrôle
Les techniciens qui ont tout vu, essaye de faire régner le calme dans tout le bâtiment.
Une scientifique : Euh, oui chef, il y a effectivement un problème mais sans explication immédiate.
Dans la navette
Superman s’approche de la petite Emmy qui est en fauteuil roulant. Certaines personnes sont interloqué par le super-héros.
Un homme : Qui c’est celui-là ? (Un groupe s’amasse autour de Superman. Loïs s’avance vers madame Plats).
Loïs : Il y a avait une bombe et il, il...il la...avaler.
Un homme : Il la avaler ? (Superman sourit à la petite fille).
Clark / Superman : Salut.
Emmy : Il est chouette votre costume.
Clark / Superman : Merci. Ma mère me la fait spécialement...comment t’appelles-tu ?
Emmy : Emmy. Emmy Plats...qui êtes-vous ?
Clark / Superman : Je suis, un ami. (Tout le monde sourit).
Emmy : Vous sauriez m’apprendre à voler ?
Clark / Superman : Pas à voler mais lorsque ce labo sera opérationnel, à marcher. Ça c’est tout à fait possible.
Dans la salle de contrôle
Une scientifique: Je demande votre attention ! Cette mission est à présent annulée ! Préparez-vous à débarquer ! (Sa voix résonne dans tous les haut-parleurs).
Dans la navette
Les passagers : Oh. C’est pas vrai.
Un passager : Alors sa y es ? C’est foutu.
Loïs : Pourquoi ?
Madame Plast : Une fois que les moteurs principaux ont fonctionné, ils ne peuvent pas repartir.
Le même passager : Nous allons rater une occasion unique.
Madame Plast : Oui.
Le même passager : Je crois qu’il faut tirer un trait sur la station orbitale Prométheus.
Les passagers : Oh, c’est vraiment pas de chance.
Clark / Superman : Non. Au contraire. Il n’y a aucune défaillance mécanique, tout est en ordre. Vous devez aller là-haut.
Loïs : Vous savez comment faire ça ?! (Dit-elle interloquée).
Clark / Superman : Facile...il suffit d’un petit coup de pouce. (Les passagers sont réjouis).
Madame Plast : Un coup de pouce ? J’avoue que je n’y comprends rien. (Superman s’en va). Il y a peut-être encore un espoir. (Dit-elle en serrant sa fille contre elle. La navette finit par s’envolée lentement).
Une femme : Tous les services de sécurité doivent se rendre sur place et passer cette navette au peigne fin. (Sa voix résonne dans les haut-parleurs).
Dans la salle de contrôle
Un homme : La navette décolle.
La même femme : Quoi ?! Mais c’est impossible ! (Ils regardent leur écran de contrôle et découvre que la fusée va de plus en plus haut). Elle décolle.
Près de la navette-Nuit
Un homme : La navette vient de quitter le sol. (Sa voix résonne dans un haut-parleur).
Superman pousse la navette jusque dans l’espace et s’approche de la station Prométheus.
Dans l’espace
Un homme : Préparez-vous pour la manœuvre d’arrivage. (Dit-il en voix-off).
Un journal de Londres tourbillonne.
Le gros titre du journal : Phénomène mystérieux dans l’espace. (Voix-off d’un homme).
Un journal de Paris tourbillonne.
Le gros titre du journal : C’est magnifique !
Un journal de New-York tourbillonne.
Le gros titre du journal : Les extra-terrestres, envahissent la terre. (Voix-off d’un homme).
Un journal tourbillonne.
Le gros titre du journal : Le père de mon enfant est un extra-terrestre. (Voix-off d’une femme).
Au Daily Planet-Jour
Perry : J’arrive toujours pas à le croire. Un homme qui vole ! (Dit-il en lisant les journaux, alors que Jimmy marche derrière lui).
Jimmy : Ils ne parlent que ça à la télé.
Perry : Jimmy, ne crois pas tout ce qu’on raconte à la télé. En tout cas je vais te dire une chose, le responsable d’un aussi gros canular, c’est un... (Il regarde une fenêtre et découvre le super-héros en train de voler, avec Loïs dans ses bras. La fenêtre s’ouvre.
Un journaliste : Regarder ! Qu’est-ce que c’est que ça ?! (Tout le monde est stupéfait).
Perry : C’est un digne fils d’Elvis. (Jimmy prend des photos. Superman repose Loïs au sol et échange un regard avec elle).
Cat : Je le vois mais je n’arrive pas à le croire.
Une journaliste : Quoi ?! Un homme qui vole ?
Cat : Non. Non, Loïs Lane. Loïs Lane qui plane...dommage, c’est un extra-terrestre.
Loïs :...Je crois pouvoir dire, qu’étant donné que je vous est vue la première, vous me devez l’exclusivité.
Clark / Superman : C’est une règle absolu.
Loïs : Non. (Elle sourit). Mais j’apprécierais énormément. (Superman s’envole, sous les flashs des photographes mais Loïs le poursuit). Ne partez pas ! Où pourrais-je vous contacter ?!
Clark / Superman : Je ne serais pas loin. (Il s’envole aussi loin que possible).
Jimmy : Ça c’est fortiche. (Loïs est époustoufler mais Cat là rejoint).
Cat : Tu as trouvé ce que le « S » signifie ?
Loïs : Super...Superman. (Elle est toute émoustillée).
Perry : Bon allez, allez ! Au travail ! On a un journal à sortir ! (Tout le monde s’active).
Appartement de Lex Luthor-Nuit
Superman est sur le balcon du milliardaire. Il observe Lex qui le laisse entrée, en applaudissant, assis dans son fauteuil un cigare à la main.
Lex : Toutes mes félicitations. Superman. Ah mais vous n’êtes pas au courant ? C’est comme ça qu’on vous appel. Votre nom, est sur toutes les lèvres. Alors ? (Il se lève et s’approche de Superman). Que me vaux cet honneur ?
Clark / Superman : Je suis venu vous dire, que je sais qui vous êtes. Qui vous êtes, en réalité. Je suppose que ça vous arrangeait bien, de détruire Prométheus pour créer à sa place votre propre laboratoire. Non seulement cela vous rapportait des milliards sur les ventes de tous les vaccins mais vous vous seriez présenté en sauveur du programme spatiale.
Lex : J’avoue que c’est une théorie intéressante, Superman mais je maintiens que ça reste une théorie.
Clark / Superman : Vous êtes aussi responsable, de la mort de trois personnes au moins. Le commandant Latterman. Samuel Plats. Docteur Baines et j’imagine que ce ne sont pas les seuls meurtres à votre actifs.
Lex : Ainsi, vous vous posez à la fois en juge et en exécuteur. (Il s’admire devant un miroir).
Clark / Superman : Comme n’importe quelle citoyen de cette planète, je dois respecter la loi. Je me situe au-dessus d’elle, ce qui visiblement n’ai pas votre cas.
Lex : J’occupe une, une certaine position dans cette ville.
Clark / Superman : Exact. Et sachez que rien au monde, ne me fera plus plaisir, que de vous voir détrôner et placer derrière des barreaux comme un vulgaire criminel. Ce jour viendra
Lex : Cela m’étonnerait mais s’il en est ainsi, alors, que le meilleur gagne. (Superman s’éloigne mais il s’arrête et se retourne vers Lex).
Clark / Superman : Oh, un petit détail. Si jamais vous me cherchez. (Il s’envole). Ce sera à vous de lever la tête cette fois. (Il s’en va aussi loin que possible).
Daily Planet-Jour
Clark : Bonjour Loïs.
Loïs : Clark. Où étiez-vous passé ?
Clark : Je traînais.
Loïs : Bon, je sais que c’est certainement moins intéressant que les reportages que vous fassiez jadis mais Superman nous a rendu une petite visite et j’ai obtenu une interview exclusive.
Clark : Toutes mes félicitations.
Loïs : Clark, si vous l’aviez vu de près, c’est certainement, l’homme le plus séduisant qu’il ne m’est jamais été donner de rencontrer.
Clark : Il vous a fait une sacrée impression dite donc.
Loïs : C’est exact...pourquoi ? Vous êtes jaloux ?
Clark : De Superman ? Pourquoi, je devrais ?
Loïs : Prétentieux.
Clark : Où est-ce qu’on va, là ?
Loïs : Fusillade sur la sixième. (Ils entrent dans l’ascenseur). Clark Kent...c’est moi qui pose les questions.
Loïs sourit en pensant à Superman, alors que Clark secoue un peu la tête.
Fin de l’épisode
***************** à suivre *************
merci à Lee333 pour ce script